lundi 30 novembre 2009

Et c'est reparti!

Lundi 30 novembre 2009. Mon père aurait eu 87 ans. Quand on écrit une date, souvent il y a un souvenir qui y est rattachée. Aujourd'hui, en jetant un coup d'oeil au calendrier, tout de suite j'entendais mon père: je suis né le 30 novembre, le soir du feu de Terrebonne. En écrivant sa biographie il y a quelques années, j'ai débusqué l'erreur: le feu de Terrebonne, en 1922, c'était dans la nuit du 1er au 2 décembre. Plus de 80 ans à croire que le feu de Terrebonne avait eu lieu le 30 novembre. Au moins, l'ampleur de la catastrophe, elle, était bien réelle (le feu je veux dire, pas la naissance de Jacques Lamarche!)


Bref, ce matin, ce qui attire mon attention, c'est le décor planté dans ma cour. Dire qu'on en a pour un bon quatre mois au moins. C'est beau par exemple. Je me demande bien si je serais capable de vivre sans. Je ne crois pas. C'est dans nos gènes autant que notre nom, que notre histoire de famille, notre marque de commerce. Comme le feu de Terrebonne dans la tête de mon père.

(photo de l'auteure)

samedi 28 novembre 2009

Je retourne en Espagne

Depuis mon retour d'Espagne, depuis que j'ai fini de lire les deux Pancol, tortues et crocodiles, rien ne retient trop longtemps mon attention, en ce qui concerne les lectures. Question écriture: quelques phrases éparses ici et là que je devrai insérer dans la vingtaine de pages déjà en cours. Question domestique: lavage, ménage, repas, visites expédiées sans grand entrain, en comptant sur mes automatismes qui n'emportent que mon corps. Mon esprit étant, comme toujours, complètement ailleurs.

En attendant mes commandes de la bibliothèque, j'ai rouvert L'ombre du vent de Carlos Ruiz Zafon. Parce que Le jeu de l'ange n'était pas disponible. Parce que je me souviens l'avoir beaucoup aimé. Parce que l'auteur est espagnol, que l'action se passe à Barcelone et que je ne savais pas que j'irais en Espagne quand je l'ai lu il y a deux ans.

En lisant: « Des comptables, des rêveurs et des génies en herbe partageaient leur table avec les fantômes de Pablo Picasso, Isaac Albeniz, Federico Garcia Lorca ou Salvador Dali », je me suis sentie en pays de connaissance. Des noms qui ne sonnent plus pareils à mes oreilles, comme si je les avais rencontrés lors de mon voyage. Pourtant si, d'une certaine façon, à travers les récits de nos guides et la visite de musées.

Même sans cette identification, ce rappel, cette vision des petites ruelles, des cafés collés sur les murs de céramique, le seul style de l'auteur suffirait à me donner une raison de relire ce livre. « Des dragons de pierre gardaient l'entrée rencognée dans un carrefour sombre, et ses becs de gaz figeaient le temps et les souvenirs. »

Comment voulez-vous vous sentir capable d'écrire après avoir lu de telles phrases? Moi, ça me tue. Je veux faire comme le personnage: « Page après page, je me laisse envelopper par le sortilège de l'histoire et de son univers (…) Je ne voulais pas perdre la magie du récit ni dire tout de suite adieu à ses personnages.» Au diable l'écriture et encore plus le lavage et le ménage, je mangerai une petite soupe en conserve. Je retourne en Espagne... par la lecture.
 
(photo-image prise dans Google-images Renaud-Bray)

mardi 24 novembre 2009

Pas forte sur les prix

Il faut croire que je ne suis pas très portée sur les prix, puisque je passe mon tour pour le "award", mais je veux bien me prêter au jeu des sept révélations primordiales, essentielles à toute connaissance de mon moi-même:

1- Je suis née un vendredi saint et baptisée dimanche de Pâques, ai donc failli m'appeler Pascale
2- Tellement pressée, je suis née les pieds en premier.
3- Je n'ai pas mon vaccin de bébé sur le bras, mais sur la cuisse.
4- Suis d'un temps que les jeunes ne peuvent pas connaître (air connu d'une chanson): n'ai pas fréquenté le cegep ni l'université et j'ai pourtant 15 ans de scolarité.
5- Ne suis jamais demeurée à Montréal même. Autour, loin, en Ontario, mais jamais Montréal, y ai étudié deux ans par contre.
6- Je ne mets jamais de déodorant... et je ne pue pas, à ce qu'on me dit. Bien de la difficulté avec les odeurs pas naturelles.
7- Ai visité l'Irlande et le pays de Galles en vélo dix vitesses. J'avais 21 ans et un bon 40 livres de moins.

Et ça reste entre nous!

C'est bien fini!

Cette fois, c'est vrai, je suis de retour.

Couchée à une heure normale, levée à une heure décente. Trois repas par jour seulement. Photos de voyage redimensionnées, ajustées, sauvegardées, montées avec Jalbum.net. Carte sur Google maps des endroits visités. Tout réunir dans mon logiciel de sites. Publié sur hébergeur. Visualisé. Corrigé.


Plus certain encore de la vraie fin de mon voyage: j'avais apporté deux Katherine Pancol pour l'avion, le balcon, la terrasse, le bord de la mer et re-l'avion. J'avais pourtant regardé trois fois pour les lire dans l'ordre de parution. Me suis trompée, sans savoir qu'en plus c'était une suite (et même qu'elle vient d'achever le tome trois à ce qu'elle dit dans son blablablog). Mais auteur exceptionnel il faut croire parce que j'ai aimé quand même reculer dans le temps. J'ai tout aimé de ces deux livres. Et j'ai fini le premier-deuxième, ce matin, une larme à l'oeil.

Et troisième indice: j'ai passé l'avant-midi à être une graphiste rémunérée à travailler pour un client. Là c'est certain, ce n'est plus le soleil et le bord de mer!
Mamannnnnn, c'est finiiiiiiiiiiii!
Pour voir photos (commentaires à venir plus tard): ici.

lundi 23 novembre 2009

Salon du livre... en Outaouais

Le lancement du livre Trente dans lequel j'ai une nouvelle: je l'ai manqué.
La rencontre avec des auteurs-blogueurs au Salon du livre de Montréal: je n'y étais pas.
Pourquoi j'ai l'impression de ne pas être souvent à la bonne place au bon moment? En faisant le tour des blogues que je lis le matin, je vois bien qu'il y a eu rencontres au sommet en fin de semaine et même là, je me suis couchée à 20 heures et je me lève encore à 5 heures (décalage horaire qui s'éternise) et j'ai l'impression d'arriver après la fermeture.

Autre observation: les deux derniers hivers, j'ai aussi manqué le salon du livre de l'Outaouais parce que j'étais dans le sud (encore partie direz-vous eh, oui je cours la galipotte ou plutôt après le soleil et la chaleur)
Donc je vous annonce en primeur que le salon du livre de l'Outaouais aura lieu du 25 au 28 février et que j'y serai. Au moins une petite heure, en tant qu'auteure, au stand de l'Association des auteurs et auteures de l'Outaouais (j'espère que je serai invitée!!!) mais encore plus en tant que visiteuse.

Et je ressemble à ma photo, celle de mon site! Me semble en tout cas, même cinq ans après. Quitte à en mettre une récente sur mon blogue quelques semaines avant.
Au plaisir de rencontrer les auteurs-blogueurs qui y seront.

dimanche 22 novembre 2009

Y a celle...

Y a celle qui voudrait s'enfermer quelque part ou rester debout toute la nuit juste pour lire et écrire. Qui finirait par s'assécher par manque de stimulation. Se promener sur le bord de la mer, à regarder ses pieds pour ne pas être déconcentrée, ça ne peut pas durer bien des jours, sans que les idées partent en croisière.

Y a celle qui voudrait être dehors toute la journée, au soleil, juste parce que ça respire mieux, juste parce qu'elle ne se sentirait pas un ours dans sa caverne, un loup dans son terrier. Elle serait ouverte au monde, à la corneille qui se demande si elle va rester encore longtemps, à l'outarde qui s'attarde, à la feuille qui s'accroche à l'arbre, à cette vie vivante qui vole au vent. Elle finit par geler et entre pour en parler.

Y a celle qui se perd dans la vie des autres, à les écouter bavarder, à ne pas être attentive à la grippe H1N1 ni aux effets de serre, ni aux changements à la suite des élections municipales, à perdre patience pour un rien, à être bougon sans savoir pourquoi, par manque de sommeil peut-être, par manque d'intérêt, par frustration, parce qu'elle n'est pas là où elle voudrait être, sans trop savoir où elle voudrait être.

Y a celle qui prendrait (perdrait?) son temps devant sa bibliothèque, à examiner les livres qu'elle lit, puisque, comme plusieurs auteurs, Dany Laferrière a dit à la télévision: "dis-moi ce que tu lis et je te dirai qui tu es". Devant les soeurs Groult, Marie Laberge, Arlette Cousture, Virginia Woolf, Louky Bersianik, Hervé Bazin, Gilbert Cesbron, Colette, Michel Tremblay, y a celle qui cherche, encore à son âge, à savoir qui elle est. Ou plutôt à être qui elle est devenue.

Y a celle qui s'occupe de choses nécessaires comme le ménage, le lavage, le serrage, la pose de lumières de Noël, le raclage, le ramassage d'aiguilles de pin, la préparation des repas. Et qui s'en passerait bien.

Y a celle qui écrit sa vie plutôt que de la vivre. Même qu'elle écrit celle des autres.

C'est peut-être celle que j'aime le plus, avec qui je suis le mieux.

Y a toutes les autres qui me courent après et à qui j'essaie de sourire quand même.

(Photo: un jour de grand vent à Cape Cod, photo de l'auteure)

vendredi 20 novembre 2009

L'art sur la Costa del Sol

L'artiste-de-nos-pinceaux aussi y a trouvé son compte à ce voyage en Espagne. Même plus que l'auteure-de-nos-stylos qui ne pouvait évidemment pas trouver de livres français dans les librairies (quoiqu'un rayon de livres en français à l'hôtel, c'est bien, avec des Michel David qui côtoient de vieux Troyat et j'ai vu un Katherine Mansfield). Ce qui a frappé l'artiste-de-nos-pinceaux ce fut les sculptures sur tous les ronds points et Dieu sait qu'il y en a en Europe. Des abstractions en métal, des fontaines traditionnelles, un espadon stylisé, une colombe dans une main, parfois des représentations de bateaux. En marbre, en granit, en métal, en plastique.

Sur la très passante Paseo Maritimo, à Torremolinos, deux énormes femmes à la crinière de lion. Le sculpteur Salvator Garcia s'est inspiré d'un dessin de Picasso qui date de 1922. Picasso, le peintre espagnol de la région puisqu'il est né à Malaga.


D'ailleurs, même si Picasso n'est pas notre peintre préféré, nous avons visité sa maison natale, à Malaga, capitale de l'Andalousie. Le musée également. Ses meilleurs peintures ne sont pas là, mais on au moins un peu connu sa famille, vu ses céramiques, plusieurs dessins et suivi son évolution.On ne pouvait pas prendre de photos dans les différentes salles, mais j'ai pu prendre deux grands artistes côte à côte!!!!!!!!!!!!!

Un petit coup de coeur pour quelques paysages des Alpujarras, vus dans un restaurant-hôtel (parce que les galeries d'art, il faut vraiment les chercher) d'un certain José Otario, mais très grosse émotion devant les sculptures de Pedrin, exposées à Mijas, un petit village blanc juché dans les montagnes avec vue imprenable sur la Méditérannée.

Bref, si l'artiste peintre n'a pas été rassasiée, la sculpteure le fut. Au point de ramasser des pierres par terre, en espérant que ce soit de ce marbre si visible et si répandu partout en Andalousie.

(photos: comme il a été difficile de prendre des photographies en roulant ou dans certains endroits mal éclairés ou exigus, j'emprunte trois photos aux internautes mieux placés que moi:
photo des deux baigneuses de Picasso ,sculpture de Salvator Garcia et celle de Pedriin: cliquer sur la photo pour en connaître l'origine, celle de Picasso et Louise Falstrault est de moi)

jeudi 19 novembre 2009

Ecrire en voyage

Pourtant, en théorie, je n'aurais pas dû avoir le temps. Une bonne dizaine d'excursions en 27 jours, aller au mercado chercher le pain frais, un peu de viande, la salade, les yogourts, le vin à 2 ou 3 euros. Rêvasser sur le balcon, marcher sur le bord de la plage. Pourtant, j'ai écrit. Tous mes jours libres. Est-ce la lecture de Katherine Pancol qui me motivait, m'inspirait? Est-ce la vue de la mer ─ d'un septième étage, nouveau pour moi─ , qui m'invitait à la méditation? Pourtant pas le silence, Torremolinos est une ville: y a des chiens dont les maitres sont bien mal élevés, y a des perroquets qui bavardent avec les tourterelles tristes, y des moteurs diesel d'autobus, y a des Espagnols qui discutent aussi ferme que des Français. Est-ce l'absence d'obligations? Cet air de vacances, ces promenades au bord de la mer qui me donnent l'impression d'être une Katherine Pancol dans sa Normandie (lire son blablablog) ou Marie Laberge dans son Maine d'adoption? Pourtant habituellement, mes personnages me parlent plus souvent quand je nage dans une piscine silencieuse.

J'ai écrit une bonne vingtaine de pages qui en deviendront soit quarante soit dix. J'ai amélioré mon grand tableau où sont clairement identifiées les colonnes: nom, physique, caractère, fin, décor, emploi.

J'ai hâte de tout retranscrire, je ne vois pas le jour où je pourrai m'y remettre, en espérant ne pas avoir laisser le ton entre deux avions ou dans ce décalage horaire qui s'éternise. Plus difficile de revenir que de partir!

(photo de l'auteure dans le studio de Torremolinos)

mercredi 18 novembre 2009

Encore un peu

Je ne peux pas tout faire en une journée: revenir de la Costa del Sol, chercher la toilette dans la noirveur, vider les valises, descendre faire quelques brassées, replacer les choses, me retrouver dans cette grande maison en cherchant les tasses (nos si tant belles grosses tasses), les napperons, remplir le réfrigérateur (surtout pas quand on se lève à 4 heures du matin, encore moins quand on sort à 9 heures et qu'on s'aperçoit qu'on n'avait pas changé l'heure redevenue normale pendant notre absence, donc que 8 heures).
Se reposer, jeter les trois souris prises dans les trappes, lire les courriels, lire le courrier postal, se réjouir des chèques rentrés, prendre note des messages sur le répondeur, répondre aux plus urgents, appeler sa mère qui a une petite voix. Ne pas s'en inquiéter. Se reposer encore. Copier les fichiers de l'ordi apporté en voyage à l'autre ordi: "veux-tu bien me dire comment on copie des courriels", grrr. Transférer les quelque 600 photos du voyage, oui, regarder un peu. Non, non, plus tard. Juste une à redimensionner pour un blogue.
Redescendre pour mettre les vêtements dans le séchage, serrer le Kathereine Pancol qu'on a lu en voyage, jeter un coup d'oeil sur ceux qu'on a, penser à demander les autres à la bibliothèque. Quel jour sommes-nous: ah! oui, mercredi, bibliothèque ce soir. Quand pourrais-je reprendre ma lecture? Jeter un coup d'oeil à l'extérieur: ciel bleu, c'est donc beau mais pas chaud, hein. Vraiment revenue chez moi. Bon, faut que j'aille chercher un sac de granules. Zut, c'est quoi déjà les numéros du cadenas de la remise à bois?

Et écrire un billet sur ce blogue en plus.
Donc encore un peu de temps et je reviendrai.

mardi 17 novembre 2009

Et Viva Espana

Mardi 17 novembre, 1heure et10 du matin pour moi et pourtant 19 heures 10 pour vous. Commencez-vous à comprendre? Et je suis debout depuis 4 heures du matin. Décalage horaire...
Eh! oui, j'étais en Espagne. Sur la Costa del Sol , la tête au soleil, les pieds dans la mer. Grosse misère!

Voilà où j'étais. Une dizaine d'excursions, je partais donc souvent. Wi-fi à l'hôtel mais pas toujours la tête à écrire. Plutôt les deux pieds sur le balcon.

Comme mon blogue est aussi publié sur Facebook, je n'aime pas dire au monde que je ne suis pas à la maison.

Après un petit dodo, je vous reviendrai avec des nouvelles plus détaillées.

dimanche 15 novembre 2009

Bientôt

Bientôt, je reprendrai avec plaisir la publication de billets sur ce blogue. Plus régulièrement, je veux dire.

Bientôt, je dirai pourquoi je n'ai pas pu, pas voulu. Pourquoi je me suis contentée de quelques commentaires ici et là.

Au début lentement, le temps de retrouver un rythme, un souffle, ensuite, je vous assommerai de tant de billets sur le même sujet que vous me prierez de me taire à nouveau.

Bientôt.
Avant la fin de la semaine, promis.

samedi 7 novembre 2009

Ecrire ce qu'on aime lire

Ça pourrait être sujet de thèse ou à tout le moins sujet d'études, de recherches. Pour les professeurs donc: depuis quand faut-il un conflit dans un roman? Pas un petit conflit, un gros, un fort, un violent, un qui frappe l'imagination? Pourquoi demande-t-oin aux auteurs d'avoir une énigme à résoudre, même dans un roman qui ne veut être ni policier, ni polar, ni thriller, ni fantasy, juste un roman?

Dès qu'il y a meurtrier à découvrir, réponse à chercher, que l'auteur en fait son principal sujet, le lecteur ─ en tout cas la lectrice que je suis─ s'empresse d'aller voir à la fin. Et dès que j'au lu, trouvé, obtenu la réponse, rares sont les fois où je poursuis. La série Millenium étant une des exceptions. Même Katherine Pancol s'y est mise dans La valse lente des tortues (que je lis lentement comme une tortue d'ailleurs, pas le temps d'y consacrer beaucoup d'heures dans la journée). Juste assez, pas trop, mais quand même suffisamment pour que je succombe à la curiosité, à la facilité. Eh oui, suis allée voir plus loin, j'ai finalement trouvé. Je poursuis quand même la lecture parce qu'elle a eu l'habileté de nous présenter d'autres avenues intéressantes.

C'est peut-être moi qui est devenue exigeante. Je n'ai pas besoin de meurtres, de violences, d'images fortes, d'actions, de vitesse. Pas plus dans un film que dans un roman. Juste qu'on me raconte la vie de quelques personnes et que le style suffise à soutenir l'intérêt. Des chroniques. Des amours qui peuvent être déchirantes, obsesssionnelles à la limite mais sans coups de pieds, sans gifles, sans sang.

Et qu'évidemment je puisse en écrire aussi.

vendredi 6 novembre 2009

Patience...

Gen s'inquiète de mon mutisme. D'autres aussi j'espère. Suis tranquille sur Internet, il est vrai. Patience. Vous en saurez la raison avant la fin du mois. Je vous expliquerai et j'espère que vous me pardonnerez. Je reviendrai en force. Tranquillement, mais en force. N'allez pas inventer des scénarios, surtout pas du genre hôpital. Là, j'ai déjà donné il y a quelques années. Non, c'est joyeux mon affaire.
Bien plaisant quand même de sentir qu'on manque à des personnes. J'ai tout juste le temps de vous lire, alors en lecture aussi je me rattraperai.
À bientôt.