lundi 1 décembre 2014

Ce sera Les têtes bouclées


Pour la vraie couverture, il faudra patienter quelques mois.
Le 28 novembre 2014, une date à retenir : mon blogue a six ans? Non, qu’importe. Deux jours avant la date anniversaire de mon père qui aurait eu 92 ans? Non, pas ça. J’ai attendu en décembre pour l’annoncer parce que j’attendais le calendrier d’échéance pour vous en dire plus. Confirmation ce matin.

Donc, tatadam… certains l’auront déjà deviné… c’est ce jour-là que j’ai reçu un courriel de l’éditeur de Vents d’Ouest m’annonçant que mon roman, Les têtes bouclées, sera publié. 

Joie. Borborygmes. Soupirs. Grand sourire. Fête.

Compte à rebours commencé. Noter les dates, les prochaines étapes. Rencontrer la réviseuse qui me suggérera des transitions, des améliorations pour assurer une meilleure continuité, surtout dans le dernier tiers. À l’avance, ayant confiance, je dis oui à tout. Je verrai point par point lors de la réécriture. Je vérifie quand même, j'ouvre mon fichier, je cherche les chapitres. Ah ! oui, peut-être que je pourrais développer ceci et cela. Mais j’accepte l’aide. Je voudrais un déclic, sentir la même émotion que lorsque Bernadette Renaud m’avait suggéré une scène-pivot pour mon premier. 

La couverture : j’y pense depuis longtemps. Je la veux différente des Têtes rousses. J’ai déjà le nom du dessinateur en tête. Lui demander, envoyer un courriel, prendre rendez-vous. Le dire? Puis-je? Il n’a pas encore accepté. Le nom a été soumis à l’éditeur qui a dit oui tout de suite. 

La publication : octobre 2015. C’est loin, mais je m’en doutais, c’était le cas également pour Les têtes rousses

L’éditeur m’a parlé de la suite du roman. Il y a quelques semaines, je voulais tout lâcher, me contenter d’écrire un long et dense épilogue au tome 2. Arrêter là le suspens, la tension, le devoir, l’obligation, la discipline. Juste vivre et me faire plaisir. Mais voilà, la promesse de publication, la possibilité d’une trilogie m’incite à la réflexion, me motive. Me fait croire que j’en suis capable. 

Et puis, ne pas essayer de tout régler la première semaine. Ni anticipation, ni projection. Ni même de comparaison avec Les têtes rousses, sinon, les dates du 7 octobre et  du 2 décembre 2011 vont revenir me rappeler des jours plus sombres qui avaient gâché un peu beaucoup la sortie de mon roman d’alors. Goûter chaque moment et me réjouir de pouvoir les vivre, un par un, une étape à la fois et continuer de vivre mes trois rêves: lire, écrire, voyager.

Pour l’instant donc, l’annoncer. 

C’est fait.

10 commentaires:

  1. je suis super content pour toi Claude ! Félicitations. Pis en plus une suite :)

    Lire, écrire, voyager ... Publier,signer, vibrer.

    Automne 2015 arrivera bien assez vite. ;)

    ...et.... bon anniversaire blogue :)

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  2. Oh là là ! Quelle bonne nouvelle ! Je suis très très contente et je sais que je ne serai pas la seule. Et la possibilité d'une trilogie... WOW !! Bravo. xx

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  3. Sylvie, je me demande parfois quelle folle idée peut nous passer par la tête pour persévérer de la sorte.
    Sans doute faut-il, une tête rousse et/ou une tête dure!

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  4. Oui, oui, youppi!!!
    Je suis bien contente pour toi et pour nous par le fait même. ;-)
    Je note pour automne 2015 et; comme le temps a l'habitude de passer vite; l'attente ne sera pas trop longue.

    Euh; je ne vois plus le lien de mon petit chez-moi! C'est voulu?

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  5. Yeah! :) Bravo Claude! :) Tu as bien fait de t'acharner! :)

    On se croisera sûrement dans les salons en 2015! :) (et pas juste en courant cette fois!)

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  6. Wahoo! Danse de la joie!!! Bravo, bravo, bravo Claude! Ravie pour toi! Joyeuses célébrations!

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  7. Mais mais mais ! Ça pourrait faire un excellent titre pour le troisième : Les têtes fortes. hihi
    Encore bravo. :))

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  8. Bonjour Claude,
    Hier j'ai passé une journée extraordinaire à lire ton roman Les têtes rousses!
    J,ai aimé du premier au dernier mot. C'est comme si c'était l'histoire de mes ancêtres parce que le O'Brien viennent eux aussi de l'Irlande...
    J'adore ce passage à la page 141 "Elle sentit confusément qu'exister aux yeux de l'autre c'était prendre racine dans sa propre vie"
    Merci pour ces heures de pur plaisir. Tes mots m'ont plus autant que nos photos t'ont plu.
    J'aimerais bien commander ton nouveau livre.
    Hélène Brien

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  9. Hélène, votre commentaire me touche beaucoup. Je suis contente que mon roman vous ait plu. Votre blogue, votre voyage, vos photos m'ont tenue en haleine plus longtemps, hihihi!!! mais sans doute un égal bonheur.

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