mardi 24 novembre 2009
Pas forte sur les prix
C'est bien fini!
lundi 23 novembre 2009
Salon du livre... en Outaouais
dimanche 22 novembre 2009
Y a celle...
Y a celle qui prendrait (perdrait?) son temps devant sa bibliothèque, à examiner les livres qu'elle lit, puisque, comme plusieurs auteurs, Dany Laferrière a dit à la télévision: "dis-moi ce que tu lis et je te dirai qui tu es". Devant les soeurs Groult, Marie Laberge, Arlette Cousture, Virginia Woolf, Louky Bersianik, Hervé Bazin, Gilbert Cesbron, Colette, Michel Tremblay, y a celle qui cherche, encore à son âge, à savoir qui elle est. Ou plutôt à être qui elle est devenue.
(Photo: un jour de grand vent à Cape Cod, photo de l'auteure)
vendredi 20 novembre 2009
L'art sur la Costa del Sol
jeudi 19 novembre 2009
Ecrire en voyage
mercredi 18 novembre 2009
Encore un peu
mardi 17 novembre 2009
Et Viva Espana
Eh! oui, j'étais en Espagne. Sur la Costa del Sol , la tête au soleil, les pieds dans la mer. Grosse misère!
Voilà où j'étais. Une dizaine d'excursions, je partais donc souvent. Wi-fi à l'hôtel mais pas toujours la tête à écrire. Plutôt les deux pieds sur le balcon.
Comme mon blogue est aussi publié sur Facebook, je n'aime pas dire au monde que je ne suis pas à la maison.
Après un petit dodo, je vous reviendrai avec des nouvelles plus détaillées.
dimanche 15 novembre 2009
Bientôt
Bientôt, je dirai pourquoi je n'ai pas pu, pas voulu. Pourquoi je me suis contentée de quelques commentaires ici et là.
Au début lentement, le temps de retrouver un rythme, un souffle, ensuite, je vous assommerai de tant de billets sur le même sujet que vous me prierez de me taire à nouveau.
Bientôt.
Avant la fin de la semaine, promis.
samedi 7 novembre 2009
Ecrire ce qu'on aime lire
vendredi 6 novembre 2009
Patience...
jeudi 29 octobre 2009
Lire pour autre chose que l'histoire
lundi 26 octobre 2009
Mon jeu préféré
lundi 19 octobre 2009
Dès potron-jaquet
(photo de l'auteure: une rivière un matin d'automne)
vendredi 16 octobre 2009
Un prof un vendredi
J'ai cessé d'enseigner en 1978 et j'en rêve encore.
mardi 13 octobre 2009
Les blogues que je suis
Et puis, en plus je suis abonnée au bulletin de Branchez-vous et donc je m’empresse de lire le billet de Josiane Massé. Depuis ses débuts, je me dis, je devrais l’ajouter aux blogues que je suis, mais j’hésite, j’attends. Eh bien je dois avouer que depuis deux ou trois mois, je suis déçue. Me semble que c’est mince et parfois ses billets ne vont nulle part ou plutôt fouinent ici et là, et m’accrochent rarement. Bon, je sais bien que les miens ne sont sûrement pas mieux, mais je ne suis pas encore dans un bulletin-site prestigieux comme Branchez-vous!
Je ne lui dirai pas. À quoi bon m’attarder à mes déceptions. Je vais plutôt vanter ici tous les autres blogues que je trouve plus intéressants que le sien. Ceux qui sont dans la colonne de droite, en premier, bien sûr. Si je ne les aimais pas, je ne les afficherais pas. Rien que ce matin, j’en ai ajouté deux que je suivrai:
celui de Guillaume Voisine>>>
celui d’ Etolane >>>
ce dernier d’ailleurs a été répertorié par Josiane Massé, ça relève un peu sa cote.
J’ai l’air de m’intéresser essentiellement à des auteurs qui écrivent ou à des lecteurs qui… lisent, mais j’aime bien les blogues des artistes peintres figuratifs québécois: triste constat, ils peignent plus qu’ils n’écrivent! J’aime aussi la généalogie, mais je la délaisse un peu, ne m'y étant intéressée que pour écrire un roman sur la venue de mes ancêtres irlandais. Le camping-voyage: là quelques-uns, mais les forums sur ce sujet me suffisent, pourtant quand je suis tombée sur Caro et cie, j’ai été ravie, elle était dans des lieux de Terre-Neuve que j’ai tant aimés.
Je ne vais pas tous les justifier, simplement vous dire que j’apprécie que vous soyez là à me faire des petits matins heureux.
(photo de l'auteure)
dimanche 11 octobre 2009
Editeurs verts
Pour l’éditeur, plus précisément pour les membres du comité de lecture, je ne sais trop ce que ça entraîne, mais sûrement que la haute pile sur le bureau, c’est fini. Un éditeur m’a déjà dit que mon manuscrit avait été égaré lors d’un déménagement, ça n’arrivera plus, mais on peut égarer dans un ordi aussi: 800 courriels, c’est beaucoup dans un ordi.
Je me demande si les membres du comité de lecture vont exiger l’épreuve papier ou s’il vont lire sur leur écran d’ordinateur? Je les verrais bien lire sur les nouveaux liseurs électroniques, mais je pense que ces gugusses ne sont pas configurées pour des fichiers PDF. Liseurs, en passant, que les invités de Marie-France Bazzo n’ont pas tellement aimés (tiens, je dévie encore, il faut toujours que j’aie deux sujets dans mes billets).
Donc, éditeurs qui ont pris le virage vert:
Michel Brûlé
Alto
Les Intouchables
Ceux que j’ai trouvés pour l’instant.
samedi 10 octobre 2009
src/share/native/sun/font/t2k/t2kstrm
Des fois je le déteste, je déteste le temps qu’il me vole qu’il me fait perdre. Depuis trois jours, je le gave de logiciels, de fichiers, je lui trouve quelques qualités et nouveautés, comme de pouvoir écrire mes billets dans Windows Live Writer (quoique j'en ai perdu mes petites lignes pointillées sur ce blogue), mais surtout j’essaie d’enlever ce fichu bug qui s’est planté au milieu de ma route et qui me force à aller lire en anglais tout ce qui se dit sur les fontes. Mon vieil ordinateur était trop plein, trop vieux, plus de haut parleurs, plus de port parallèle, j’en ai un tout neuf. Mais mon vieux, gros et poussiéreux caché sous mon bureau, je le connaissais comme le fond d’une chaussette et je ne perdais pas de temps à être gentille avec lui. J’aurais dû.
Samedi matin, j’ai pris le temps de déjeuner, de lire en déjeuner, de rire en parlant de la sacoche de la reine. Eh! oui, l’artiste de nos pinceaux, avant d’aller sculpter, se demandait, en regardant le pot presque vide, si nous étions les plus grands consommateurs de beurre d’arachide. Je ne comprendrai jamais son cerveau parce qu’elle a enchaîné en disant: “ça doit être ça que la reine a dans sa sacoche. Chose certaine, à l’âge qu’elle a ce ne sont certainement plus des tampons!”
J’ai suffisamment ri pour me faire oublier mon ordi et son src/share/native/sun/font/t2k/t2kstrm qui m’horripile.
vendredi 9 octobre 2009
Un encan où tout le monde y gagne
Sauf pour un organisme : la Société d’Alzheimer de l’Outaouais. Sa mère est décédée de «sénilité précoce». Dans les années 1970, on ne parlait pas encore d’Alzheimer. Louise commençait tout juste à travailler. Elle avait promis à sa mère que lorsqu’elle aurait un salaire, elle l’amènerait magasiner, elle la sortirait ici et là. Elle n’a pas eu le temps, sa mère est décédée à 52 ans.
Aussi quand l’organisme situé à Gatineau, secteur Hull, lui a demandé de participer à l’encan qu’il organise depuis onze ans, Louise a accepté tout de suite et continue d’y participer chaque année depuis.
D’autant que c’est un événement qui est bien organisé. Pas du genre l’artiste peintre donne tout et ne reçoit qu’un peu de visibilité qui n’intéresse personne. En effet, à l’encan de la Société, l’artiste fixe son prix de départ, le tableau se vend au moins au prix fixé. L’organisme garde un pourcentage du prix atteint à l’encan et donne le reste à l’artiste (de l’ordre d’environ 60/40). Tout le monde y gagne : l’acheteur, l’organisme et l’artiste.
Le prochain encan a lieu le 29 octobre, à Gatineau. Pendant l’encan est servi un vins-et-fromages. Pas une dégustation debout autour de quelques assiettes, oh ! non, bien mieux : cinq ou six services, parfois plus. Deux ou trois fromages à chaque service, le vin en fonction, souvent des pâtés et à la fin porto et pâtisserie. Bref, une bien belle soirée.
mercredi 7 octobre 2009
Lire en marchant
J’ai déjà lu Bestiaire avec un réel plaisir et ne croyant pas que l’auteur puisse faire mieux. En tout cas, il fait autant. Je le soupçonne d’établir une longue liste de mots se rapportant à un sujet et de les employer ensuite un à un en les accolant à d’autres, très souvent accompagnés d’adjectifs qui donnent force et visuel, issus d’une seconde liste de mots qui frappent, qui choquent, qui font image surtout, comme «on peut avoir des bonbons contre des bouteilles (…) cette nouvelle a sur moi l’effet de la découverture de la pénicilline dan un bordel parisien».
J’ai déjà lu aussi un roman où la narratrice était une petite fille de onze ans (La sœur de Judith de Lise Tremblay) et un autre d’Arlette Cousture faisait parler une fillette de cinq ans. Mais avec moins de bonheur que celui-ci où le principal personnage est un garçonnet de deux-trois ans. Faut le faire. Et on y croit. Même si on n’y croit pas, c’est délicieux. Tout ça autour d’un seul thème : le sucre. Le garçonnet est accro au sucre. Ce qui prouve une bonne foi pour toutes que ce n’est pas tant le sujet d’une histoire qui la rend intéressante mais le ton, le style. L’auteur n’en manque pas.
Croyez-vous que j’ai vu mes vingt minutes d’exercice passées? C’est la fin d’un chapitre qui m’a arrêtée et non le cadran rouge.
(photo empruntée à Allie qui en parlait déjà en 2005 >>> et qui m’a appris que c’était le premier roman de l’auteur)