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mercredi 20 janvier 2010

Forum versus blogue

Entre une et vingt minutes : les courriels d’abord, réponses s’il y a lieu.
Entre cinq et trente minutes : les blogues que je suis, commentaires s’ils m’allument
Entre deux et dix minutes : Facebook, le mien et celui de l’artiste, un commentaire à l’occasion, très rare
Et finalement, je me garde ma cerise sur le gâteau : le forum de la FQCC
Pourquoi en dernier, parce que facilement plus d’une heure.
Conclusion : j’aime mieux le camping que l’écriture ou la lecture? Non, faux.


Après plus de deux ans d’assiduité sur ce forum, un peu plus d’un an de bloguisme (j’aime bien le mot, il m’est venu naturellement mais probablement parce qu’on commence à le voir-lire, entre autre ici) et quelques mois de Facebooking (bon celui-là, il dérive de « scrapbooking » qu’est-ce que j’ai ce matin à inventer des nouveaux mots?), je viens de faire une découverte. Un éclair de lucidité. Pourquoi je m’incruste dans ce forum plutôt qu’ailleurs ou plus longtemps en tout cas qu’ailleurs? C’est la formule. Tous les sujets sont là, reliés au camping certes, mais nombreux, variés, certains techniques. Une partie sous l’auvent où on peut se laisser aller. Des nouveaux membres s’ajoutent chaque jour, l’administrateur n’a pas à intervenir très souvent, pas de modérateurs, on est tous gentils et respectueux, disons à 90% et pour le 10%, on s’arrange entre nous comme des adultes, on s’écrit des courriels privés pour tenter de ramener les blessés. Une belle gang, quoi.
On y écrit plus longuement que sur Facebook, mais moins que sur les blogues. Texte moins travaillé bien sûr, je n’écris pas avant dans Word avant d’ajouter mon message. On a plus d’interactions que sur les blogues.

Vraie conclusion donc : s’il y avait un forum d’auteurs québécois professionnels, de la relève ou en herbe, de toutes tendances et de tout azimut, j’en serais, c’est certain. Et y retrouvant probablement plusieurs blogueurs, qui sait si je bloguerais encore.

En attendant, je continue ici. Parfois plus de trente minutes, c'est selon.

lundi 18 janvier 2010

Facebook, blogue et site:
une toupie qui étourdit

Site, blogue, Facebook et l’artiste de nos pinceaux. Je, l’auteure de nos stylos, suis venue à l’Internet par curiosité, j’aime chercher, j’aime lire. Pas vendre, ça je ne sais pas trop comment se joue ce jeu où tous les coups semblent permis. Alors quand vint le temps de monter un site Internet pour l’artiste de nos pinceaux, ce fut relativement facile. J’ai regardé ce qui se faisait ailleurs, l’artiste m’a donné ses couleurs. Tout allait bien, le site était un complément à son dépliant, à ses affiches sur la route, aux symposiums auxquels elle participait. Les envois de courriels aux galeries se firent nombreux et utiles.
Et voilà qu’internet s’emballe, se diversifie, se multiplie. Des blogues s’ajoutent pour informer, échanger, discuter d’un ou plusieurs sujets. Et puis, ces billets ne répondent pas aux besoins de monsieur et madame tout le monde qui préfèrent n’écrire qu’une ligne ou deux, alors allons-y gaiement dans le Facebook, Twitter et probablement d’autres moins visibles. En comparaison, les sites ont l’air statique, ont l’air de mal vieillir dans leur coin, isolés, délaissés, presque boudés.

Ça va tellement vite que la graphiste curieuse que je suis a oublié de réfléchir, de se poser les vraies questions. Elle fonce dans le tas, part son blogue et quelques mois plus tard, sous la pression de quelques jeunes qui ne jurent que par Facebook, la voilà inscrite elle aussi. Quelques autres mois plus tard, en voyant les artistes peintres foisonner devant cette folie furieuse, elle inscrit l’artiste de nos pinceaux après l’avoir convaincue qu’elle y retrouverait amis et collègues, après lui avoir montré le fonctionnement de la bête. L’artiste y jettera un coup d’œil les premiers jours et se contentera de s’en informer les jours suivants: qui a écrit quoi?

La question qui tue que je me pose enfin : l’artiste doit elle ajouter ses tableaux sur Facebook? La question des photos et informations personnelles a été vite réglé : ce : le moins possible, mais les photos de tableaux? Là encore, elle regarde ce que les autres font : certains y vont à raison d’un de temps à autre, un organisme, à tour de bras, y présente ses artistes, à raison de deux ou trois par jour. Trop insistant à mon goût.

Alors ce matin, il était temps, je réfléchis. S’il est facile pour l’auteure que je suis qui n’a pas grand-chose à vendre de faire des choix, de se promener sans trop de gêne entre site, blogue et ce réseau social où elle ne va que pour « wouaire », parce qu'il y a bien une ou deux personnes qui l'intéressent, c’est bien différent pour l’artiste qui n’écrit pas et n’a pas ce besoin insatiable, bref, elle n’est pas accroc! Et moi qui suis sa graphiste, sa presque agente, est-ce de mon devoir de la planter là, partout, sous prétexte de visibilité, sous prétexte qu’il faut être sur Internet, sous prétexte que c’est là que ça se passe? Je dois réviser mes stratégies, revenir à la question première : pourquoi l’artiste est-elle sur Internet? Pour se faire connaître en tant qu’artiste peintre? Pour dire au monde : youhou, j’existe, je suis là. Alors Facebook, est-ce nécessaire? Pourquoi tous les autres artistes y vont-ils? Pour faire comme… Louise a 56 amis dont les trois quarts sont des artistes peintres et quatre ou cinq communiquent avec elle via Facebook alors qu’ils ne le faisaient pas ou très peu via son site ou le courriel « ordinaire ». Pas de clients. Que devons-nous en conclure?

Et puis, sous-jacente l’autre question plus insidieuse : est-ce que j’ai l’air de cette vendeuse mal à l’aise à l’entrée d’une boutique qui attend les clients, qui ne sait pas comment s’y prendre, qui a l’air pas à sa place, qui en fait trop ou pas assez? Je ne veux tellement pas paraître comme X qui se pavane ou comme Y qui s’impose, tous ces gens que je juge, oui que je juge et que je critique. Peur d’être jugée à mon tour. Y a des jours où je me ferais petite et soumise (c’est pas une chanson, ça?).

Bref (la brièveté et moi, ça ne se fréquente plus depuis longtemps), en tant que graphiste, qu’est-ce que fais? Ce n’est pas écrit nulle part, alors je ne sais pas.

mardi 5 janvier 2010

Compétences moyennes

Ce matin, j’ai lu un article d’André Magny dans cyberpresse.ca. Comme je connais un peu le sujet, j’ai trouvé que le texte ne justifiait pas le titre — Le pari de publier à son compte —, et vice versa. Un peu décousu comme texte, une liste de noms tout au plus.

Je me suis alors demandée si je faisais mieux. Peut-être que oui, peut-être que non. Ce qui est certain c’est que je ne suis pas journaliste publié à Cyberpresse. Je suis mon propre patron, mon propre juge, — et espérons moins jugée puisque moins lue—, est-ce à dire que je peux me permettre de dire n’importe quoi, n’importe comment? Est-ce que moi aussi, je vais à gauche et à droite?

En ce début d’année, j’ai consulté mon agenda pour me remettre au travail : dépliant, brochure, mise à jour de sites Internet. Mais à quoi suis-je bonne? Je ne peux pas tout savoir. Je ne peux pas tout faire. Dans les limites de mes compétences, que puis-je améliorer? Avec tous les jeunes graphistes, blogueurs, webmaîtres qui poussent nombreux et fort, je parviens tout juste à me maintenir à flot, c’est déjà beaucoup. Certains jours, il me semble avoir fait le tour, être allée au bout de mon savoir et de mes possibilités.

Maintenant que je ne travaille plus pour un patron qui me disait quoi faire, il est plus difficile de faire la démarcation entre le professionnel et le personnel. Le castor déplumé a lui aussi établi cette règle, dit-il. Dans les sites Internet, les dépliants, les brochures, les affiches que je réalise, pas de problèmes, rien de personnel ne transparaît, mais dans un blogue? Néophyte en écriture web, j’y vais de manière plus personnelle. En mélangeant les genres.

En bout de ligne, pour ne pas avoir l’air d’une vendeuse de tableaux, de sculptures ou de manuscrits, et surtout parce que je me suis laissée prendre au jeu de glisser vers plus personnel, je crois bien que ni mes sites Internet ni mon blogue ne seront jamais dans les top 50 du marketing.

Mais est-ce le but? Au départ, je dois avouer que oui, en bonne partie. Pas être dans les palmarès mais que le blogue soit un complément au site, comme un site est un complément au dépliant, à l’affiche au bord du chemin, à l’article dans le journal. Bref un instrument de promotion. Fait longtemps qu’il en est loin, qu’il a pris un autre embranchement.

En regard des résultats, est-ce dire que j’ai manqué mon coup? Est-ce à dire que je dois remettre en cause mes compétences et avoir l’impression d’avoir tout juste la moyenne en matière de rédaction et de graphisme?

Comme cet article lu ce matin : moyen. Bof, je n'ai jamais été première de classe! Toujours fait de mon mieux par contre. Comme André Magny probablement.

(photo: affiche sur le bord de la route)

jeudi 24 décembre 2009

Joyeuses Fêtes



Quand l'auteure-de-nos-stylos ne trouve pas les mots, des mots nouveaux, des originaux, ceux qui pourraient remuer le coeur, ou au moins s'éloigner des formules toutes faites, elle demande à l'artiste-de-nos-pinceaux de l'aider et les deux redeviennent graphistes le temps d'illustrer cette saison de neige et de nature qui vient, le temps de souhaiter que les amours de ces jours de fête soient douces comme des flocons qui tombent légers et généreux et que les jours coulent comme rivière au soleil.


mardi 15 décembre 2009

Le mensonge

1- Mes parents ont adopté deux garçons. C'est vrai, mais on ne les a pas gardés.

2- J'ai très bien connu la famille de Marcel Chaput, le fondateur du RIN. C'est vrai, très grand ami de mon père et son épouse, Madeleine vit encore, a travaillé longtemps avec ma mère. Ses enfants étaient de notre âge. Eh! oui, des fois j'oublie que j'ai connu des gens illustres, mais pas à l'école, pas des confrères ou des consoeurs.

3- J'ai très bien connu Jean Pelletier, l'ancien chef de cabinet de Jean Chrétien. C'est vrai. Ami de mon père. Ils ont écrit dans Cité Libre et Traditions et Progrès. N'avaient pas les mêmes idées politiques, mais très grand respect.

4- La comédienne Andrée Cousineau était dans la classe en face de la mienne. C'est vrai, mais elle n'était pas dans ma classe, juste en face. Plus ou moins parents lointains du côté de ma mère, comme tous les gens de Ville Saint-Laurent.

5- J'ai habité Niagara Falls pendant deux ans. C'est vrai, mais j'avais entre deux et quatre ans: aucune séquelle!!!

6- J'aime beaucoup le thé. Et le voilà le mensonge. Bravo à ceux et celles qui l'ont trouvé. Il m'arrive de boire du thé vert, mais pas de thé, même avec du lait. Pourtant, ça fait 30 ans qu'on m'en offre.

7- J'ai pris l'Homéric à 12 ans. C'est vrai. Bon, je ferai un billet seulement sur ce sujet quand j'aurai le temps (la connexion Internet a fait défaut 24 heures chez nous, suis en retard dans mes travaux) L'Homeric est effectivement un bateau comme l'a trouvé Andrée. Je ne sais pas qui a écrit l'article dans Wikipedia, mais je pense qu'il y en a eu deux. Le mien était de la compagnie Cunard. Je me souviens avoir fait une recherche en ce sens, je retrouverai. En tout cas, je sais que j'étais dessus en 1962.

8- Je préfère le sucré au salé. C'est vrai. Entre croustilles et chocolat, c'est sûr que ce sera chocolat.

mercredi 18 novembre 2009

Encore un peu

Je ne peux pas tout faire en une journée: revenir de la Costa del Sol, chercher la toilette dans la noirveur, vider les valises, descendre faire quelques brassées, replacer les choses, me retrouver dans cette grande maison en cherchant les tasses (nos si tant belles grosses tasses), les napperons, remplir le réfrigérateur (surtout pas quand on se lève à 4 heures du matin, encore moins quand on sort à 9 heures et qu'on s'aperçoit qu'on n'avait pas changé l'heure redevenue normale pendant notre absence, donc que 8 heures).
Se reposer, jeter les trois souris prises dans les trappes, lire les courriels, lire le courrier postal, se réjouir des chèques rentrés, prendre note des messages sur le répondeur, répondre aux plus urgents, appeler sa mère qui a une petite voix. Ne pas s'en inquiéter. Se reposer encore. Copier les fichiers de l'ordi apporté en voyage à l'autre ordi: "veux-tu bien me dire comment on copie des courriels", grrr. Transférer les quelque 600 photos du voyage, oui, regarder un peu. Non, non, plus tard. Juste une à redimensionner pour un blogue.
Redescendre pour mettre les vêtements dans le séchage, serrer le Kathereine Pancol qu'on a lu en voyage, jeter un coup d'oeil sur ceux qu'on a, penser à demander les autres à la bibliothèque. Quel jour sommes-nous: ah! oui, mercredi, bibliothèque ce soir. Quand pourrais-je reprendre ma lecture? Jeter un coup d'oeil à l'extérieur: ciel bleu, c'est donc beau mais pas chaud, hein. Vraiment revenue chez moi. Bon, faut que j'aille chercher un sac de granules. Zut, c'est quoi déjà les numéros du cadenas de la remise à bois?

Et écrire un billet sur ce blogue en plus.
Donc encore un peu de temps et je reviendrai.

dimanche 15 novembre 2009

Bientôt

Bientôt, je reprendrai avec plaisir la publication de billets sur ce blogue. Plus régulièrement, je veux dire.

Bientôt, je dirai pourquoi je n'ai pas pu, pas voulu. Pourquoi je me suis contentée de quelques commentaires ici et là.

Au début lentement, le temps de retrouver un rythme, un souffle, ensuite, je vous assommerai de tant de billets sur le même sujet que vous me prierez de me taire à nouveau.

Bientôt.
Avant la fin de la semaine, promis.

vendredi 6 novembre 2009

Patience...

Gen s'inquiète de mon mutisme. D'autres aussi j'espère. Suis tranquille sur Internet, il est vrai. Patience. Vous en saurez la raison avant la fin du mois. Je vous expliquerai et j'espère que vous me pardonnerez. Je reviendrai en force. Tranquillement, mais en force. N'allez pas inventer des scénarios, surtout pas du genre hôpital. Là, j'ai déjà donné il y a quelques années. Non, c'est joyeux mon affaire.
Bien plaisant quand même de sentir qu'on manque à des personnes. J'ai tout juste le temps de vous lire, alors en lecture aussi je me rattraperai.
À bientôt.

mardi 13 octobre 2009

Les blogues que je suis

Comme la plupart des blogueurs et blogueuses, le matin, je fais le tour des blogues que je suis: nouveaux billets à lire, commentaires ajoutés. Toujours contente de voir les sujets.

Et puis, en plus je suis abonnée au bulletin de Branchez-vous et donc je m’empresse de lire le billet de Josiane Massé. Depuis ses débuts, je me dis, je devrais l’ajouter aux blogues que je suis, mais j’hésite, j’attends. Eh bien je dois avouer que depuis deux ou trois mois, je suis déçue. Me semble que c’est mince et parfois ses billets ne vont nulle part ou plutôt fouinent ici et là, et m’accrochent rarement. Bon, je sais bien que les miens ne sont sûrement pas mieux, mais je ne suis pas encore dans un bulletin-site prestigieux comme Branchez-vous!

Je ne lui dirai pas. À quoi bon m’attarder à mes déceptions. Je vais plutôt vanter ici tous les autres blogues que je trouve plus intéressants que le sien. Ceux qui sont dans la colonne de droite, en premier, bien sûr. Si je ne les aimais pas, je ne les afficherais pas. Rien que ce matin, j’en ai ajouté deux que je suivrai:
celui de Guillaume Voisine>>>
celui d’ Etolane >>>
ce dernier d’ailleurs a été répertorié par Josiane Massé, ça relève un peu sa cote.

J’ai l’air de m’intéresser essentiellement à des auteurs qui écrivent ou à des lecteurs qui… lisent, mais j’aime bien les blogues des artistes peintres figuratifs québécois: triste constat, ils peignent plus qu’ils n’écrivent! J’aime aussi la généalogie, mais je la délaisse un peu, ne m'y étant intéressée que pour écrire un roman sur la venue de mes ancêtres irlandais. Le camping-voyage: là quelques-uns, mais les forums sur ce sujet me suffisent, pourtant quand je suis tombée sur Caro et cie, j’ai été ravie, elle était dans des lieux de Terre-Neuve que j’ai tant aimés.

Je ne vais pas tous les justifier, simplement vous dire que j’apprécie que vous soyez là à me faire des petits matins heureux.

(photo de l'auteure)

jeudi 24 septembre 2009

Blogue ou site Internet?

Ce matin, en parlant de mes sites Internet de voyages à remonter, je me suis posée la question : finalement un blogue est-ce mieux qu’un site Internet?

La question mériterait un peu de recherches pour savoir ce que d’autres en pensent, un long billet avec tout plein de pour et de contre. Finalement je n’ai lu qu’un … blogue et les commentaires sur le sujet. Celui-ci>>> Ça m’a suffit pour me faire une idée. La réponse : ça dépend.

Ça dépend du but recherché : faire connaître une entreprise, faire connaître des services à offrir, présenter des produits, se trouver des amis, échanger des idées, des expériences, offrir de l’information?

Ça dépend de vos qualifications : sait-on monter un site? plus facile de créer un blogue, mais encore faut-il être assidu et y écrire souvent, être capable de gérer soi-même son blogue, l’alimenter.

Ça dépend de vos moyens : un blogue ne coûte rien… que du temps. Quoique Wordpress se vante d’offrir une plateforme qui commence sérieusement à ressembler à un site, visuellement parlant en tout cas. Un site, si on le veut professionnel, finit par coûter de l’argent, ne serait-ce que le nom de domaine, indispensable à qui veut jouer dans la cour des grands.

En ce qui me concerne personnellement, je crois que le site est plus statique et le blogue plus dynamique, ce dernier bouge plus souvent. Il bouge tellement que les internautes ne lisent que le billet du jour. Quand je publie deux billets le même jour, je suis presque certaine que seul le dernier apportera plus de commentaires. Les autres billets se perdent dans la nuit des temps. Pas tout à fait grâce à Google qui peut les retrouver selon les mots-clés libellés choisis lors d’une recherche. Il bouge tellement avec tous les liens que l’on y dépose que ça part de tous les côtés et on se souvient plus où l’on va et d’où l’on vient. Mais quand il s’agit de chercher une information, un service, un produit, je ne fouille pas dans un blogue, je cherche un site. Si je veux lire une opinion, rencontrer d’autres internautes qui aiment les mêmes sujets que moi, je cherche un blogue.

Comme je suis capable de monter des sites (pas des professionnels à 3,000 $ CAN), je considère que les deux se complètent très bien. Quand l’artiste-de-nos-pinceaux veut inviter un galeriste à voir ce qu’elle fait, elle ne lui dit pas d’aller lire son blogue, mais d’aller visiter son site.

J’aurais bien voulu que ce blogue soit partie intégrante de mon site ou de celui de l’artiste-de-nos-pinceaux, mais mon logiciel WebCreator ne le permet pas facilement, une fonction que je n’ai pas vraiment comprise encore, donc pour l’instant les deux ont l’air séparé avec des liens pour qui veut bien cliquer dessus. Je me dis que ceux qui sont vraiment intéressés trouvent toujours.

Qu’en pensez-vous: blogue ou site?

(Images: mon bloque et mon site)

mardi 1 septembre 2009

Hommage à Prac de Aide Blogger et sur deux lignes si possible!

Il y a quelques semaines, je me suis aventurée dans un domaine où mon incompétence n'a d'égale que ma curiosité. Mon ascendant Verseau faisait encore des siennes: être originale et indépendante. Originale peut-être ai-je réussi un tout petit peu, mais indépendante, peu s'en faut. J'ai réussi à changer de modèle de blogue, même trouvé comment arranger l'en-tête. Hier encore je trouvais comment enlever un "buscar" dont je ne voulais pas surtout parce que c'était en anglais. Mais malgré mes appels répétés dans le forum d'aide (un nouveau pas celui de Blogger qui nous renvoie souvent à l'aide en anglais), je ne réussissais pas à écrire deux lignes dans le titre.

Et voilà que Prac a résolu mon problème ce matin. À lui seul, il répond à la majorité des questions, avec patience, compétence et respect. À lui seul, il résoud les problèmes et nous indique la solution de façon claire et adaptée. Dix fois j'ai failli renoncer et je me disais: "même quand j'aurai la solution, serais-je capable de la comprendre et l'appliquer?" Ce fut réussi en deux minutes. Et ce n'est pas parce que je suis intelligente, c'est que lui, ce Prac, est un formidable professeur. Je tiens donc à lui rendre hommage, à le remercier publiquement.

Alors, utilisateurs de Blogger, n'hésitez pas à faire appel au forum d'aide.

dimanche 23 août 2009

Avant le café du matin

Le matin, certains lisent les journaux, parfois un seul. Ils écoutent la radio en même temps pour savoir comment s’habiller, pour savoir le temps qu’il fera, pour connaître les routes bloquées. Me semble que ça doit assommer quelqu’un, je me sentirais gaver comme une oie. Remplie, briefée, gonflée.

Pourtant, je ne suis pas mieux : je navigue sur Internet. Dans mes courriels, une invitation pour m’inscrire à Netblog. Petite visite du site : pour les jeunes, on me tutoie allègrement, on m’offre blog, photos, musique, ça ne m’intéresse pas, pas plus que Twitter. Je vais voir s’il y a de nouveaux commentaires sur mon blogue (je ne ferai pas de lien, étant donné que vous êtes dessus !), s’il y a du nouveau sur Facebook où je n’ai toujours pas fermé mon compte (pas de lien non plus, ce site a suffisamment de publicité comme ça, me semble que c’est du dédoublement, comme les gouvernements provinciaux et fédéraux : il faut s’inscrire aux deux). Dans l’un comme dans l’autre, je saute d’un nom à un autre, je fais le tour de ma cour, surtout la cour des autres. Un petit saut dans deux forums pour lire les réflexions ou questions des oiseaux de nuit. Je regarde l’heure, je retarde le moment de déjeuner, sinon, j’ai faim à 11 heures.

Bref, ce matin, pas vraiment en forme côté humeur. Je me dis : peut-être le biorythme ? Plusieurs sites pour le connaître, le mien est celui de Michèle Perras. Courbe intellectuelle au maximum, les deux autres, physique et émotionnelle à la baisse mais sans plus. Alors quoi, pourquoi cette impression de lourdeur, de rien-ne-m’intéresse-ce-matin ?

Tiens ça ferait une bonne annonce pour une marque de café : je n’ai pas encore bu mon café. Ça doit être ça. À la recherche d’un blogue sur le café du matin, j’ai plutôt trouvé ce site zen >>> et je vous laisse là-dessus, parce que je commence à trouver que je m’en vais nulle part, à tirer dans toutes les directions.
(image: google images de café)

jeudi 20 août 2009

Blogues au lieu de livres?

Tant de blogueurs écrivent de très beaux billets sur les livres que je me demande parfois si je ne devrais pas me trouver un autre créneau. Je n'arrêterais pas de lire des livres. Jamais. Mais puisque je passe de plus en plus d'heures à lire des blogues, je pourrais peut-être commencer à faire partager mes découvertes.

Je cherche encore la perle rare, l'artiste peintre québécois qui écrit un blogue. Très peu, ils peignent ces artistes, pas le temps d'écrire en plus! Visiblement ils préfèrent le pinceau au stylo. Donc, je ratisse alors du côté des auteurs, québécois si possible. Pas évident.

Toujours est-il que ce matin, je suis tombé sur un écrivain qui a décidé d'écrire un blogue en attendant que son premier roman paraisse (ça vous rappelle pas quelqu'un?). J'ai lu son billet du jour. Tout de suite son style m'a plu. Vous arrive-t-il de chercher le premier message d'un blogueur? Quand il n'a pas d'archives? Pas clair dans ce cas, j'ai reculé page par page. Et j'ai trouvé.

Je voulais savoir comment c'était arrivé: l'envoi du manuscrit, l'appel de l'éditeur, l'attente. J'ai su. Je vous laisse découvrir, c'est fascinant. Surtout son histoire des 427 petits bouts de carnet envoyés à 427 éditeurs.

Ah oui, voici le lien>>>

samedi 15 août 2009

Contrées inconnues

Patience... à ceux et celles qui tentent de lire mon blogue.
J'en viendrai à bout, foi de descendante d'Irlandais.

mercredi 12 août 2009

Lecture de blogues

C’est rendu que je lis plus de blogues que de livres. Est-ce que c’est grave? Symptôme de quelle maladie? Surtout du fait qu’ils sont plus accessibles : directement sur mon écran, à toute heure du jour. Plus courts aussi. Au nombre que j’ingurgite par contre, ça vaut bien un livre de 100 pages. Il y a tellement de blogues sur les livres à lire, je devrais peut-être devenir la grande défenseure (oui, oui, j'ai vérifié ça s'écrit) des blogues qui, souvent à raison, ont mauvaise presse. Je ne dénoncerais pas les mal écrits ou les mal-aimés, mais je pourrais au moins recenser et prouver qu'il y en a plusieurs de très bien.

Pas folle de l'oeuvre de Christian Mistral, mais le personnage me fascine. J'ai donc lu ce billet >>> avec plaisir, probablement parce que je me suis reconnue dans ces propos. Par la suite, j'ai été déçue qu' Une femme libre ne soit déjà plus accessible qu’aux lecteurs invités, il faut écrire un courriel à l’auteure, j’ai ça encore son adresse courriel? Si elle me lit, petit message subliminal, j’aimais bien votre blogue, m’autoriseriez-vous à continuer à le lire?

Par contre, je suis contente, mon billet a été publié sur le site de voir.ca de Gatineau. J’ai compris que tous les blogues des membres sont là, bien présents, mais pas toujours visibles « à la une ». Il y en a vraiment beaucoup, tout mêlés, pas classés du tout par sujet, mais faut pas trop en demander. Et puis j’ai fait un lien avec le mien, on ne sait jamais... L’important était de promouvoir la tournée des Créateurs de la Petite-Nation, chose faite.

En lisant les blogues des autres, quelquefois une idée me vient, plus qu'une réaction qui entraîne seulement un commentaire à laisser. Mon esprit divague, mes doigts se promènent sur le clavier, entre le fichier de "livres à lire" et "blogue à écrire". Je l’observe pour voir s’il va développer, où il s'attarde, mais bien souvent l’idée s’envole dans la brume matinale et s’étiole entre le déjeuner et les forums consultés.

Exemple, ça fait une semaine que j’essaie de parler de l’herbe à puce. J’attends probablement de pouvoir prendre une photo des jambes infectées de ma coblogueuse ou de prendre une photo de la chose si belle en apparence pendant que, habillée en hiver, j’essaierai de la détruire, l’arracher, la déraciner, la tuer en espérant, malgré les avis contradictoires que nous en avons depuis qu’on en parle, qu’elle ne revienne plus jamais nous hanter ni s'attaquer aux chevilles et mollets, et bien plus encore chez ma coblogueuse.

À venir donc.

(image de la une du site de voir.ca Gatineau)

vendredi 7 août 2009

Dans le dédale des blogues

Cette nuit, j'ai rêvé que je participais à un exercice d'écriture. Je devais écrire une douzaine de lignes en parlant de terrain de golf (j'ai objecté au professeur-animateur, que je ne jouais pas au golf), et de la mer, thème qui aurait dû m'inspirer. Après quelques minutes, j'ai réussi à imaginer quelques liens, sauf que je n'y voyais rien et que j'avais du mal à trouver un support pour recevoir mes petites lettres tracées au crayon de plomb. Je changeais constamment de place pour améliorer la lumière, mais je frustrais de n'avoir qu'un genou pour écrire et même quand j'ai enfin déniché une feuille de papier et un stylo à l'encre rouge, je ne me rappelais plus mesd phrases et le papier était si humide que les lettres s'imprimaient mal. J'ai choisi d'apprendre mon texte par coeur.

Sauf qu'à mon réveil, je ne me le rappelais plus. Grrr.

Donc, je me rabats sur les textes des autres. Découverts ce matin, trois petits nouveaux(nouveaux pour moi en tout cas) en me promenant dans le dédale des blogues et des commentaires, qui vont probablement m'intéresser:
Un autre prof
Une femme libre
Grande dame

Un peu maigre comme billet en ce matin de soleil blafard et je n'ai aucune excuse.

vendredi 31 juillet 2009

Après la pluie le beau temps, après (et avant) les corvées, les plaisirs

Le matin en me levant, je me dis : «aujourd’hui je fais ceci et cela. Une petite heure sur Internet et je m’y mets». Évidemment, l’heure est vite passée. Ce matin, encore, j’ai résisté pour ne pas commenter le billet de ysengrmius auquel Venise a fait référence. Fort intéressant par ailleurs et où j'ai compris que mon blogue était du genre hybride : un mélange entre opinions, impressions, réactions et récit (pour pas dire racontages!).

Je dois aussi me faire violence pour ne pas me laisser prendre par les messages des deux forums qui m’intéressent (camping et généalogie), sinon, j’y passe deux heures facilement. Un peu tout de même pour me faire plaisir. Comme on se fait plaisir avant de remplir une tâche qui nous tente moins. J’avoue que je me fais plaisir avant… et après la corvée !

Tout de même aujourd’hui, malgré un début chancelant, j’ai réussi à mettre un point final à une de mes corvées : mon manuscrit.

Cet après-midi, ma coblogueuse m’a aidée à transférer mes corrections sur mon ordinateur : «tel paragraphe, telle ligne, tu enlèves tels mots et tu les remplaces par… c’est quoi ces pattes de mouche? » Je l’aide parfois en lui disant mes impressions au sujet de son tableau, — ce qu’elle aime rarement—, mais elle doit être masochiste, ou elle a confiance en mon jugement parce qu’elle me le redemande presque à chaque fois ! Donc, elle m'a rendu la pareille en m'aidant aux corrections de la nième (j’ai arrêté de la compter à quatre) version de mon manuscrit.

En l’envoyant, les doigts croisés, à la directrice littéraire qui s’y intéresse depuis plus de deux ans, j’ai regardé la date du dernier courriel échangé : 19 mai. Donc un peu plus de deux mois pour réviser près de 300 pages. Pas si mal. Je devrais me sentir en vacances, non? Pas vraiment puisque j’y suis allée à petites doses, sans trop d’efforts. Mais sérieusement quand même. J’ai promené mon bateau sur bien d’autres rivières entre temps. Il suffit de lire mes billets pour voir dans quelles eaux j’ai navigué depuis mai.

Donc, après un souper sur la galerie, trois kilomètres en vélo, un petit feu à l’extérieur, question de profiter du beau temps enfin, je peux me permettre une autre heure de petits plaisirs, genre tournée des blogues.

Celui d’Andrée Poulin sur les petites foufounes des enfants chinois : à découvrir.

(Photo personnelle de l'auteure)

vendredi 17 juillet 2009

De tout et de rien

Tellement à dire, que je ne sais par quel bout commencer.
Je rassemble donc mes idées, j'expédie surtout ce qui doit être fait avant que de dire ou d'écrire. Et je reviens un de ces matins.

samedi 23 mai 2009

signature sur blogger

Petite question technique aux utilisateurs de Blooger:
plusieurs façons d'écrire une signature quand on veut écrire un commentaire.
Dans le mien et quelques autres, il faut s'y reprendre à deux fois pour que le commentaire soit publié. Deux fois écrire les petites lettres codes.

Je n'ai pas trouvé où cocher pour que ce problème ne persiste pas. Pour n'avoir à écrire les lettres cachées qu'une seule fois. Dans paramètres/commentaires et après, il me semble avoir coché tout ce que je peux.

Pas trouvé non plus dans aide Blogger en anglais, plus mêlante qu'aidante!!!

Ajout: par contre j'ai trouvé ce blogue en français, je me souviens que c'est lui que j'ai lu pour ajouter mon abonnement au Flux RSS. Un peu frugales comme explications, parfois, mais au moins en français.

mardi 12 mai 2009

petit outil à enlever

Ça fait plusieurs fois que je cherche (même dans le blogger-aide) et je ne trouve pas, alors au diable l'orgueil et je vous demande de l'aide: comment enlever l'outil le "wrench" qui se retrouve un peu partout dans les rectangles de droite?

Merci de votre aide. Au fond tout le monde y gagnera: le visuel sera plus propre.