Ce matin, neige sur les branches, neige dans les champs.
Je veux l’aimer, cette neige, parce qu’elle sera bientôt là pour plusieurs mois.
Et que cet hiver, je resterai avec elle.
Je ne veux pas me battre contre elle, juste l’accueillir.
Parce que mon pays, c’est l’hiver, comme dit Vigneault.
Vigneault a aussi dit qu’on est gens de causerie.
Hier, à l’invitation du Centre de généalogie de la Petite-Nation,
j’ai été fille de causerie
Fille de mon père, grand parleur
Fille de ma mère aux sentiments réservés, mais qui fredonnait When Irish Eyes Are Smiling
Chanson apprise de son père.
Hier, j’ai été arrière arrière-arrière-petite-fille d’Irlandais.
J’ai été fille de mots
Qui a parlé pour être entendue
Une dizaine de personnes m’ont écoutée sur Zoom
J’ai raconté comment j’ai écrit Les têtes rousses
Ce fut parfois vérité
Et parfois mensonge.
Vigneault connait bien les gens de son pays.
Je reste rarement sans mots.
Je suis aussi fille de pages.
Je remplis des pages et des pages de mots, de photos, de noms.
Sur mon blogue>>>
Et sur mon site>>>
Pour connaître la vérité et les mensonges dans mes romans Les têtes rousses, Les têtes bouclées et Les têtes dures, consulter cette page>>>
Merci aux personnes qui m’ont vue et écoutée.
Merci à Alain Faubert et Maurice Deschênes pour l’animation et la technique sur Zoom.
Et maintenant, retournons dans cet hiver qui commence
Où je vais aller rêver et écrire
Parler encore et même rire
Où les soirs de grands vents
J'écouterai Vigneault me parler de liberté.
Merci aux personnes qui m’ont vue et écoutée.
Merci à Alain Faubert et Maurice Deschênes pour l’animation et la technique sur Zoom.
Et maintenant, retournons dans cet hiver qui commence
Où je vais aller rêver et écrire
Parler encore et même rire
Où les soirs de grands vents
J'écouterai Vigneault me parler de liberté.