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mardi 31 décembre 2019

Dernier jour de 2019

La photo de 2019 : ce n’est pas chez nous, ce ne fut que quelques jours, mais elle représente cette paix recherchée :
un jour de ciel bleu, un petit vent chaud, la mer, la vie
  à deux, un bon livre.

Dernier jour de l’année. Trente-quatrième billet de l’année. La plus petite en terme de publication de billets. Essoufflement? Fatigue intellectuelle? Plutôt un rythme de vie différent. Quatre mois en Floride apportent des amitiés nouvelles et donc beaucoup de bavardage social qui se poursuit le reste de l’année.

Si je parle plus, corollaire : j’écris moins, je lis moins.
De 2019, je retiens trois titres : Lambeaux de Charles Juliet, Les Foley d’Annie-Claude Thériault et Anne Hébert, vivre pour écrire de Marie-Andrée Lamontagne.
En 2019, après quatre ans de réécritures, d’attentes, d’envois, d'espoir et de désillusions, j’aurai pris la décision d’autopublier Héritages Les têtes dures.
Il y eut la vente de notre Roadtrek donc moins de voyages ici et là, de camping dans les parcs, de petits feux de camp le soir. Mais heureusement, encore de belles rencontres amicales avec des campeurs rencontrés au fil des ans.
Il y eut ces vingt aller-retour à Saint-Laurent en octobre et novembre et deux grippes (je ne pensais pas que c’était possible) en décembre qui ont grugé temps et énergie.
Il y a eu le décès de très bons amis, mais aussi un mariage.
Mais comme toujours, je ne garderai en mémoire que le meilleur : le ciel bleu, les folies et les rires, les chansons et la musique de la Floride; les fêtes, les bons repas en famille; le doux temps de vivre près d’un arbre, d’un oiseau.

Que me réserve 2020? Je ne veux pas le savoir.
Ce que je me souhaite? Rien d’autre que la paix. Celle du cœur, de l’esprit. Celle du corps aussi.
Ce que je vous souhaite : le meilleur.



vendredi 9 décembre 2011

Les troupes allemandes de Dominique Ritchot


Je ne suis pas la seule à partir de ses ancêtres pour publier un livre. Dominique Ritchot, généalogiste (une vraie de vraie, pas amateure comme moi) et descendante de soldat auxiliaire allemand,  s’est intéressée au livre de Virginia Easley De marce, The settlement of former German Auxiliary Troops in Canada after the American Revolution. Elle l’a non seulement traduit, mais revu toute la liste des soldats, consulté de nombreuses archives, corrigé des erreurs trouvées au cours de ses recherches et, après que les Éditions Septentrion aient abandonné la publication, l’auteure a persisté et a finalement pu voir le fruit de son travail, d’une bonne dizaine d’années, publié aux Éditions historiques et généalogiques Pépin (Institut généalogique Drouin) 

Ce n’est pas un roman, mais un ouvrage de référence fort bien documenté pour qui s’intéresse à la venue de ces soldats allemands longtemps appelés des « mercenaires », dans les années 1776-1783, pendant la révolution américaine.

Si je m’intéresse à ce livre, c’est que j’ai longtemps cherché l’ancêtre de Louise Falstrault: Heinrich Faulstroth, et c’est grâce aux recherches de Dominique Ritchot, entre autres, que je l’ai découvert. J’en ai déjà parlé, là>>>. Son livre nous permet de reconnaître de nombreux patronymes dont l’orthographe a changé au cours des années. La liste des épouses, en grande majorité francophone, est également très intéressante à parcourir.

L’auteure est aussi blogueuse à ses heures. Et elle s’occupe d’un forum sur les soldats qui provenaient de la région de Hesse-Hanau. 

(photo de la couverture, empruntée au blogue de Dominique Ritchot)

mercredi 27 mai 2009

généalogie

Des pages et des pages, c'est ce que je gribouille depuis mon enfance. Je n'ai guère dessiné, mais écrire, ça! Je m'enfermais dans ma grande garde-robe (oui, oui, j'y avais installé une lumière, une tablette, une table et une chaise, aujourd'hui, on appelle ça des "walk-in", je crois!) pour éviter de faire la vaisselle, je disais que j'avais des devoirs, en fait, j'écrivais. Mon journal, des lettres que je n'envoyais pas. Même mes leçons, je les écrivais.

J'écrivais et j'écris encore sur tous les sujets qui m'intéressaient. Si au moins je savais me limiter, si je n'étais pas si curieuse. Si quelqu'un me payait pour ne parler que de généalogie ou que de camping, saurais-je me limiter? Étudiante, j'étais moyenne en tout, première en rien. Je n'ai pas changé. Donc mon blogue se dandine dans diverses voies. Depuis quelques années, je gribouille des noms. Des milliers de noms et des dates. Le titre le laisse comprendre: j'aime la généalogie. Quand mon père en parlait avec passion, je détestais, ça m'ennuyait. S'il voyait mes 13,000 noms aujourd'hui!!!

J'ai trouvé quelqu'un qui se limite à la généalogie, le chanceux: Pierre Lagacé. Pas celui de la télé qui annonce les notaires, non, un autre.

Donc, j'ai mis ma base de données à jour. Au début, on cherche les ancêtres de notre famille, puis ceux de nos cousins, puis ceux de nos amis, puis ceux des artistes peintres que je côtoie. J'en suis aux blogueurs que je rencontre sur Internet!!!

Peut-être y êtes-vous? Petits curieux, allez-y voir, mais attention, vous risquez de vouloir en savoir encore plus!!! >>>
(dessin d'un soldat de Carignan,
ancêtres Bricault dit Lamarche et Deguire dit Larose en sont)