Le matin, certains lisent les journaux, parfois un seul. Ils écoutent la radio en même temps pour savoir comment s’habiller, pour savoir le temps qu’il fera, pour connaître les routes bloquées. Me semble que ça doit assommer quelqu’un, je me sentirais gaver comme une oie. Remplie, briefée, gonflée.
Pourtant, je ne suis pas mieux : je navigue sur Internet. Dans mes courriels, une invitation pour m’inscrire à Netblog. Petite visite du site : pour les jeunes, on me tutoie allègrement, on m’offre blog, photos, musique, ça ne m’intéresse pas, pas plus que Twitter. Je vais voir s’il y a de nouveaux commentaires sur mon blogue (je ne ferai pas de lien, étant donné que vous êtes dessus !), s’il y a du nouveau sur Facebook où je n’ai toujours pas fermé mon compte (pas de lien non plus, ce site a suffisamment de publicité comme ça, me semble que c’est du dédoublement, comme les gouvernements provinciaux et fédéraux : il faut s’inscrire aux deux). Dans l’un comme dans l’autre, je saute d’un nom à un autre, je fais le tour de ma cour, surtout la cour des autres. Un petit saut dans deux forums pour lire les réflexions ou questions des oiseaux de nuit. Je regarde l’heure, je retarde le moment de déjeuner, sinon, j’ai faim à 11 heures.
Bref, ce matin, pas vraiment en forme côté humeur. Je me dis : peut-être le biorythme ? Plusieurs sites pour le connaître, le mien est celui de Michèle Perras. Courbe intellectuelle au maximum, les deux autres, physique et émotionnelle à la baisse mais sans plus. Alors quoi, pourquoi cette impression de lourdeur, de rien-ne-m’intéresse-ce-matin ?
Tiens ça ferait une bonne annonce pour une marque de café : je n’ai pas encore bu mon café. Ça doit être ça. À la recherche d’un blogue sur le café du matin, j’ai plutôt trouvé ce site zen >>> et je vous laisse là-dessus, parce que je commence à trouver que je m’en vais nulle part, à tirer dans toutes les directions.
Pourtant, je ne suis pas mieux : je navigue sur Internet. Dans mes courriels, une invitation pour m’inscrire à Netblog. Petite visite du site : pour les jeunes, on me tutoie allègrement, on m’offre blog, photos, musique, ça ne m’intéresse pas, pas plus que Twitter. Je vais voir s’il y a de nouveaux commentaires sur mon blogue (je ne ferai pas de lien, étant donné que vous êtes dessus !), s’il y a du nouveau sur Facebook où je n’ai toujours pas fermé mon compte (pas de lien non plus, ce site a suffisamment de publicité comme ça, me semble que c’est du dédoublement, comme les gouvernements provinciaux et fédéraux : il faut s’inscrire aux deux). Dans l’un comme dans l’autre, je saute d’un nom à un autre, je fais le tour de ma cour, surtout la cour des autres. Un petit saut dans deux forums pour lire les réflexions ou questions des oiseaux de nuit. Je regarde l’heure, je retarde le moment de déjeuner, sinon, j’ai faim à 11 heures.
Bref, ce matin, pas vraiment en forme côté humeur. Je me dis : peut-être le biorythme ? Plusieurs sites pour le connaître, le mien est celui de Michèle Perras. Courbe intellectuelle au maximum, les deux autres, physique et émotionnelle à la baisse mais sans plus. Alors quoi, pourquoi cette impression de lourdeur, de rien-ne-m’intéresse-ce-matin ?
Tiens ça ferait une bonne annonce pour une marque de café : je n’ai pas encore bu mon café. Ça doit être ça. À la recherche d’un blogue sur le café du matin, j’ai plutôt trouvé ce site zen >>> et je vous laisse là-dessus, parce que je commence à trouver que je m’en vais nulle part, à tirer dans toutes les directions.
(image: google images de café)
Le café, je ne m'en passerais pas! Premier réflexe du matin, me préparer mon expresso que je vais boire à l'ordi. On a une belle vie quand même, vous ne trouvez pas, Claudel? ;o)
RépondreEffacerC'est sûr qu'on a une belle vie, je ne le conteste pas. Plutôt café au lait mais devant l'ordi également. Mais il y a des matins, quand même... Bon, ça va déjà mieux. J'ai vaincu l'herbe à puce: dernière lizière arrachée ce matin. Yé!
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