Écrire serait si triste si l'on ne déviait jamais de son plan.
Giorgio Agamben
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La citation d’aujourd’hui correspond à ma semaine d’écriture : je tuerai un personnage (il se noiera dans une rivière ou un lac, à son choix) tout simplement parce que mon histoire ressemblait trop à la mienne. Et je ne veux pas. Parce que je ne veux pas que les têtes fortes collent trop à ma vie. Mes personnages réclament une vie plus mouvementée, plus dramatique, plus intéressante. Comme Léopold Deguire dans
Les têtes bouclées, je m’amuse à me demander : « Et si… »
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