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dimanche 1 janvier 2012

À vous, à nous!

Triste constat : je n’ai pas l’enthousiasme facile. Par contre, du genre caméléon, je prends l’humeur des autres. Ce matin, les bilans, les souhaits d’autres blogueurs et blogueuses me montrent le chemin de la bonne humeur. Quoi de plus agréable que d’être désirée : le Castor déplumé et Lucille des Chroniques décontractées veulent me voir au Salon de Rouyn en mai prochain. En 2011, j’ai rencontré Sylvie Gaydos pour la première fois. Aux Correspondances d'Eastman, en 2010, j'ai pu converser un peu avec Venise du Passe-mot. Au Salon du livre de l'Outaouais, j'ai réussi à placer un mot ou deux avec la volubile et intéressante Élisabeth. Quant à Pierre H. Charron et sa conjointe Chantale, ils me relancent depuis le début de mon blogue et viennent me voir jusqu’à Ripon, ce n’est pas rien, ça fait plaisir chaque fois. Et si je n’ai pas vu de visu  Gen, Isa, Audry, Prospéryne, (et quelques autres, des Isabelle, Francine, Suzanne, Julie, Ruth) j’ai grand plaisir à les retrouver chaque fois dans leurs blogues ou leurs commentaires. 

Alors à tous vous autres, devenus si importants pour moi, dont je guette les mots, les billets et les écrits comme le Petit Prince attendait sa rose et son renard, et comme vous savez que j’aime la généalogie (et non pas parce que je pourrais être votre Mémé, quoiqu'en pense Gen, surtout pas), même si ce n’est pas tellement cette passion que nous partageons, je vous laisse sur cette chanson, ne serait-ce que parce qu’elle se termine par...


 « car ce soir, nous allons danser! » 

Donc, réjouissons-nous, enthousiasmons-nous, levons nos verres à la nouvelle année et à tout ce que nous partagerons encore virtuellement ou de vive voix en 2012.

jeudi 1 janvier 2009

Bonne année

Je voudrais bien fêter la nouvelle année de belle façon. Faire une belle entrée comme une envolée littéraire. Un bilan de l’année? Je risquerais de tomber dans le négatif, la déprime, à ne ressasser que les mauvaises nouvelles. Je préférerais verbaliser mes rêves pour ce qui peut venir : la publication de mon roman, de nouvelles galeries d’art pour Louise ou de meilleures ventes dans les actuelles.

Mais que dit-on dans un blogue ? J’ai toujours peur de blesser quelqu’un, de recevoir des reproches, de semer la controverse. Parler, écrire, je veux bien, mais je ne veux pas de commentaires désobligeants, ni de réponses idiotes ni de réactions qui me bouleversent. Le besoin de s’exprimer n’a pas beaucoup en commun avec l’art de s’exprimer ou avoir la répartie facile ou être fort en argumentation, en discussion. Mais alors, jeter des mots sur papier, ça tout l’air égoïste, du genre à se regarder dans un miroir, mais sans accepter de voir le regard de l’autre sur nous?

Et si, pour l’instant, je souhaitais simplement Bonne année, ici et maintenant, sans autre pensée. Et être bien contente d’être en vie, en santé pour pouvoir le dire. Zut, j'en ai eu d'autres!!!