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mardi 4 juin 2019

Carnet de roman (17)

Cliquez sur l'illustration pour agrandir
Qui peut se targuer d’avoir une des trois premières religieuses Sainte-Croix, soeur Marie-de-Bonsecours, dans son arbre généalogique? Et même le Pierre Laporte tristement assassiné en 1970? Comme tous les deux sont issus de la lignée de Jean Leduc et de Cécile Lechaperon, il risque fort que beaucoup d’entre nous l’aient dans leur arbre, c'est le 91e nom de famille au Québec.

Entre réalité et fiction. Entre personnes réelles et personnages. D’un livre bleu sur la généalogie de la famille Deguire à trois romans sur des descendants d’ancêtres irlandais. Je n’ai publié d’arbre généalogique que dans Les têtes bouclées. Pour les curieux, pour les passionnés de généalogie, je publie la liste de tous les personnages des trois romans. Certains ne sont que nommés, comme Pierre Laporte. Les liens sont les vrais, documentés, vérifiés.

Dans ce tableau, ce sont les prénoms des personnages, mais ce sont les vrais patronymes : Lynch, Bushell, Leduc, Deguire, Pouliot. Même Bricault est un vrai patronyme. C’est celui de mon ancêtre paternel : le soldat de Carignan, Jean Bricault dit Lamarche. Comme vous voyez, je n’ai pas été chercher bien loin. Juste pour dire que ce n’était pas le même que le nom de l’auteure. Des romans inspirés de ma vie, je veux bien, mais en route, l’imagination s’est enflammée. La vie privée a réclamé un peu de discrétion.

Aimez-vous les romans quand il s'agit de vraies personnes et même de faits réels?

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vendredi 26 avril 2019

Quand les rivières auront retrouvé leur lit


Le troisième Festin de livres se tient demain et dimanche.
Je voudrais qu’on ne parle que de livres.
On ne parlera que d’eau, de pluie, du pont fermé.
Je voudrais qu’on ne voie que le bleu, on ne verra sans doute que le gris du ciel, les lacs qui calent, les rivières qui se déchaînent, le courant qui emporte tout.

Je sourirai quand même parce que le Centre d’action culturelle a travaillé fort pour tenir ce troisième Festin.
Parce qu’entre deux soupirs, je choisirai un livre usagé, j'en achèterai un neuf, je jaserai avec une auteure que je ne connais pas, parce que j’écouterai un poète, ou un historien, je regarderai les enfants qui, eux, ne sont pas tristes, qui, eux, savent plonger dans un univers imaginaire.

Je sourirai également si vous lisez l’extrait de mon prochain roman dont le titre est Héritages (ce qui lui convient parfaitement et qui se lit sans avoir lu Les têtes rousses ou Les têtes bouclées, mais auquel j'ai tenu à ajouter le sous-titre Les têtes dures pour clore la trilogie).
Ravie si vous réservez un exemplaire.
C’est ça ma surprise pour les visiteurs du Festin : un extrait de la suite et fin de ma trilogie sur mes ancêtres irlandais.

Bientôt l’extrait sera disponible sur mon blogue.
Il suffira alors de m’envoyer un courriel pour réserver le roman.
Bientôt.

jeudi 18 avril 2019

Ce sera...

Cette fois, c’est vrai, j’ai pris la décision. Assez procrastiné, assez tergiversé.

La saga de mes ancêtres irlandais, inspirée par le livre bleu de ma grand-tante religieuse, a commencé en 2004. Je visais le prix Septentrion. Je souhaitais la publication d’un seul roman qui raconterait l’histoire de cinq générations. De celle de l’Irlandaise Bridget Bushell qui vivait devant un champ de pommes de terre à la mienne alors que je suis entourée de champs de pommes de terre. Quelle coïncidence! J'avais déjà le début et la fin.

Une directrice littéraire me convainc de faire plusieurs tomes. Sans toutefois donner suite pour une publication.

En 2011, finalement Vents d’Ouest publie Les têtes rousses.
Il faudra attendre encore quatre ans, d’autres refus, d’autres versions et finalement Vents d’Ouest publie Les têtes bouclées.

Dès la publication de 2015, je me remets au travail, je termine le dernier volet de ma saga.
Quatre ans, neuf refus d’éditeurs, un camp littéraire, une version au passé, une autre au présent, une centaine de titres possible, une bonne dizaine de réécritures, ça suffit.

Ce sera l’auto-édition. Point final. Au diable le reste. Le reste étant lancement, salons du livre, bibliothèque, librairies, éditeur reconnu, promotion ciblée. Le grand jeu, quoi. Je ne souhaite plus jouer. Jamais voulu d’ailleurs. Juste écrire et être lue.


Ce sera Héritages – Les têtes dures.
Ce sera cinquante exemplaires pour commencer. Par envoi postal à qui le demandera.
Ce sera bientôt, cette année, en 2019. Quatre ans entre chaque publication, comme un signe. Quinze ans depuis que l’idée a germé. Il est temps de passer à autre chose. Juste retourner à la lecture. Quant à l’écriture, après un cahier rouge pour le sud, je reviens au cahier bleu pour le nord.

Pour le troisième Festin de livres qui se tient les 27 et 28 avril au complexe Whissell à Saint-André-Avellin, à défaut de m’être décidée à temps, je ne pourrai pas avoir les premiers exemplaires de ce troisième tome, j’offrirai tout de même un extrait aux visiteurs. Extrait qui sera disponible également sur Internet à qui me demandera le mot de passe pour lire le fichier PDF. Je dévoilerai par le fait même la couverture. J’aurais bien voulu qu’elle soit de Christian Quesnel, qui vient de faire paraître un très bel album sur Félix Leclerc et qui a créé la page couverture du roman Les têtes bouclées, mais voilà ce fut le choix de l’éditrice que je deviens par le fait même.

Tiens, pour calmer votre impatience (la mienne piaffe!), je dévoile une partie de la couverture.

Plus que quelques jours avant le Festin, plus que quelques semaines avant la publication du roman. Qu’est-ce que c’est en regard des quinze années que je viens de passer avec les personnages de ma saga irlandaise!