Je n’ai jamais entendu ou lu le nom de cette auteure. Et la poésie n’a jamais été mon premier choix, mais depuis quelques années, je tente un rapprochement par l’avenue de la prose poétique.
Aussi quand Hugues Corriveau dans Le Devoir du 10 juillet a écrit un article à propos de Quand je ne dis rien, je pense encore de Camille Readman Prud’homme...
quand Daniel Guénette, dans Le blog de Dédé-blanc-bec — un titre qui ne dit pas tout le sérieux des billets — parlait aussi de l’intelligence de ce livre...
et sur le site leslibraires.ca, l’icône « OUI » est apposée...
Je n'ai plus hésité.
Quant au deuxième livre, cette fois ce fut le nom des auteures et le sujet qui m’ont guidée.
C’est le choix de mon « 12-août-j’achète-un-livre-québécois ».
Commandés à la Librairie Rose-Marie de Buckingham (Gatineau).
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Les anonymes: svp petite signature