À
Sylvie,
À tous ceux et celles -- dont moi -- qui ont besoin
de la force
de l'énergie
de la lumière
de la beauté
cette saison de vie qui crie sa fureur
le temps d'aller à la recherche de plus grand
le temps de se retrouver, soi.
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Les chutes de Plaisance, sont situées sur la rivière Petite-Nation,
juste avant d'arriver dans la rivière des Outaouais
et le fleuve Saint-Laurent et la mer
(photos de l'auteure de ce blogue)
cliquez sur le montage pour l'agrandir |
Superbes photos Claude. Je t'envoie, via les nuages, des ondes positives, pleine d'énergie.
RépondreEffacerMerci, Andrée. Ça devrait marcher, le vent vient souvent de l'ouest!
RépondreEffacerWow! J'ignorais qu'il y avait des chutes à Plaisance! :O
RépondreEffacerLorsque j'étais jeune, nous nous arrêtions souvent à une halte routière à Plaisance, en revenant de notre chalet de St-Aimé-du-lac-des-Iles... Tu sais, la halte où il y a des tables à pique-nique et, si je me souviens bien, des tas d'outardes? Que de souvenirs...
Mais jamais, jamais je n'ai vu ces chutes! Merci pour ces belles images! :D
Chère Claude.
RépondreEffacerJe te remercie.
Tu as compris mon billet, je crois, car ces photos visent vraiment dans le mille.
La lumière que tu nous montres est pleine de pouvoir. :))
Nous nous sommes arrêtés cet été et avons rebroussé chemin devant la guérite d'entrée.
RépondreEffacerNous nous sommes promis de prendre le temps d'y aller bientôt.
Merci de nous partager ces photos en guise de prémice.
Moi, tu me fais penser à ma jeunesse, quand j'allais voir la débâcle printannière, chez-nous à Rigaud.
RépondreEffacerIsabelle, le parc dont tu parles est devenu le Parc national de Plaisance, une Sepaq, tu peux aller camper, canoter, pédaler, tu ne t'y reconnaîtrais pas. Et oui, les outardes y séjournent encore, elles étaient d'ailleurs arrivées, hier quand j'y étais.
RépondreEffacerSylvie, j'avais ton billet en tête quand je suis arrivée à ces chutes qui, même en temps normal, sont sources de pouvoir alors forcément, au printemps, un jour de soleil en plus, c'est multiplié par dix. Et comme il ne faisait pas si froid, j'y suis restée plus de trente minutes à goûter solitude et mon plaisir de la journée.
RépondreEffacerPierre: L'été c'est payant, mais ça vaut la peine. Le reste de l'année, pas de guérite.
RépondreEffacerNe te mêle pas avec le parc de Plaisance qui est au sud du village tandis que les chutes sont moins bien affichées, elles sont au nord, sur le chemin Malo.
Ginette: le mot débâcle convient assez bien: au 19e siècle il y avait là un village industriel et la pitoune descendait sur la rivière Petite-Nation.
RépondreEffacerSuperbes photos! Et j'espère que tu as puiser autant de force et d'énergie que ces magnifiques chutes dégagent.
RépondreEffacerAu plaisir.
À Suzanne: certain que j'ai goûté à tout. Seule dans cet endroit si fréquenté en été, tous les sens bien ouverts, j'étais réceptive. De plus, l'eau pour moi a toujours été un symbole très fort, une attirance que je ne m'explique pas. Alors la vie m'a gâtée hier et j'en tire encore des bénéfices aujourd'hui.
RépondreEffacerEt tu m'en vois ravie. Ne lâche pas.
RépondreEffacerFacile d'imaginer le vacarne, toute cette puissance naturelle!
RépondreEffacerGrand-Langue