Saviez-vous que le-bonheur-du-jour était un meuble? Pour écrire et pour les dames! Un restaurant aussi, quelques blogues et deux ou trois titres de romans. Peut-être me laisserai-je tenter par un roman de José Canabis.
En voyage, dans mon cahier de bord, à la fin de la journée, j’aime bien noter le plaisir du jour. Aujourd’hui, à défaut d’écrire un long billet, j’aimerais bien commencer une série « bonheur du jour ». Je me connais, je sais bien que je ne tiendrai pas longtemps, je n’aime pas les contraintes.
Au moins aujourd’hui : une photo et quelques lignes.
Aujourd’hui, donc, le bonheur du jour ne fut ressenti, comme un tremblement de terre, que vers 17 heures trente. Avant, c'était plutôt couci-couça, l'humeur étant à la rébellion à toutes les activités manuelles qui ne me tentaient guère.
Devant un feu, un verre de vin, un italien banal somme toute. Moi qui aime bien un vin en apéritif, il faudrait peut-être que je commence à me documenter sur les vins qui se servent sans accompagnement alimentaire. On ferme la parenthèse.
Et lecture. Un roman de Louise Dupré. Émotion parce que j’ai aussi eu une tante qui fut « internée ». Si identification dans le sujet, pendant quelques pages, surtout admiration pour le style que je n’aurai jamais. même en me forçant. D'autant meilleur.
Voilà, c’est tout.
La ruée vers l’or, émission qui se passait au Yukon en 2012, m'attend. Question de faire durer le plaisir. Deux semaines déjà que je suis revenue de cette lointaine région que j'ai beaucoup aimée, et je ne veux pas trop revenir à la normale, aux « il faut » trop rapidement.
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