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lundi 18 décembre 2023

Ça ne m'amuse plus

Un deuil? Un autre. Non, ce n’est pas le bon mot, ce n’est pas si douloureux.
Un renoncement? Oui, quand même un peu. Dur sur mon orgueil surtout.
Une autre étape...  acceptée, assumée.
Pas vraiment une étape vers autre chose de différent, plutôt vers... plus du tout.

Voilà, je suis devenue incompétente. Plus envie de chercher. D’y passer des heures. Ce n’est plus un loisir. Ce n’est plus un plaisir.
Je cherche le début pour voir combien de temps j’ai tenu. Le nombre de fois que j’ai recommencé, revisité, reformulé, alimenté, mis à jour. Des heures, des jours, des semaines.
J'ai changé de logiciel : de Frontpage à WebCreator 7Pro.
J'ai changé de nom : De nos pinceaux et de nos stylos, falstrault-lamarche.blogspot, despagesetdespages.com, claude-lamarche.com
J'ai changé l’entête, le graphisme.

En tout cas depuis 2008, c’est certain, c’est écrit dans ce blogue.
Le site « de nos pinceaux et de nos stylos » que j’avais créé avec Louise Falstrault pour parler de ses tableaux et de mes écrits est devenu « despagesetdespages.com » en 2009, c’est écrit dans les Whois.

C’était un jeu, ça m’amusait. Je me trouvais bonne. Plus maintenant.


C’est le site http://despagesetdespages.com/ que je délaisse. Je le laisse tel qu’il est. Tant pis s’il n’est pas « adaptatif », si les photos que je vois sur mon ordinateur ne se voient pas sur une tablette ni un téléphone. Je n’ajouterai pas mes prochains voyages, je ne chercherai pas à changer ces fichus à en é dans ma base de données de généalogie. Je ne le mettrai plus à jour.

Il viendra un jour prochain, pas si lointain où je ne renouvellerai pas mon nom de domaine et ne paierai plus un hébergeur. Pour l’instant, je délaisse, bientôt je délesterai.

Je garde mon blogue. https://www.claude-lamarche.com/ D’abord, il est gratuit et jusqu’à maintenant Blogger ne me demande pas d’apprendre de nouvelles techniques. Il n’a pas changé depuis que je l’utilise. On reste entre vieux copain-copine.
Aussi longtemps que j’y trouverai du plaisir.


vendredi 29 avril 2016

Comme l'oiseau, recommencer chaque printemps

Quand tu lis sur un réseau social — et non dans un courriel personnel : « Tous ceux et celles dont les textes ont été retenus ont été contactés, et le processus d’accompagnement commencera sous peu. » et que tu n’as pas été contactée, tu viens de comprendre que :
malgré que tes textes ont toujours été retenus lors des précédentes parutions de ce collectif
malgré que la maison d’édition est la même que celle qui publie tes romans
malgré que la réviseure est la même que celle qui corrige tes romans
eh non, ton texte n’y sera pas. 

Tu crains de contracter cette petite maladie de la déception qui peut mener à une conclusion aussi inutile que fausse : je ne vaux plus rien. D’autant que les textes étaient sous pseudonyme, alors ce n’est pas personnel si ton texte a été refusé, pas plus que c'aurait été personnel si ton texte avait été retenu. Donc, c’est vraiment ton texte qui n’était pas bon, pas toi. 

Mais, toi, tu sais que c’est toi qui l’as écrit, pas un pseudonyme!
Mais toi, tu as beaucoup de difficulté à différencier la qualité d’un texte et la compétence de son auteur. 

Et tu lis ce message au même moment où tu es en train de relire ton manuscrit en cours. Il te reste à continuer, à corriger, sans juger, sans comparer. Juste l’améliorer, être meilleur que la version précédente, réécrire au besoin, reformuler. 

Comme l’oiseau qui reconstruit son nid au printemps.


Et tu lis ce message au même moment aussi où tu as acheté un livre où il est question de Wordpress, tu sais ce système de gestion de contenu qui t’obsède depuis plusieurs années, que tout le monde vante et te dit que c’est bien meilleur que Blogger que tu utilises depuis huit ans.

Tu as un site et un blogue et ça fait des années que tu voudrais bien les uniformiser, mieux, les marier, tout regrouper dans un seul site plus au goût du jour, plus dynamique, moins obsolète.

Tu aimes bien fouiller, chercher, apprendre, essayer des nouveautés, réussir. Tu te sens utile et en vie.

Recommencer chaque printemps, comme l’oiseau qui est venu voir si son vieux nid était encore là. 

Mais ce n’est pas aussi simple, bien des difficultés t’attendent, bien des questions déjà se présentent dont la principale est : es-tu compétente? Es-tu capable? Est-ce que ça vaut la peine? Tout ce temps à chercher, essayer, échouer, rester éveillée à te poser des questions. Alors que tu as déjà un site, déjà un blogue. Pourquoi tous ces efforts, ces essais et erreurs? Auras-tu plus de lecteurs, plus de retombées. Simle satisfaction personnelle? Et tout ce temps que tu auras mis à jouer dans le langage informatique, ce sera moins de temps pour être dehors à les observer ces oiseaux que tu aimes, du temps de moins à profiter du soleil qui est de plus en plus chaud, moins de temps pour écrire ton blogue et réviser ton manuscrit.

Le couple de phœbe est jeune, lui. Il peut encore fonder une famille, encore créer, ça vaut la peine de faire des efforts, ça vaut la peine d’espérer, d’essayer, d’affronter les difficultés qui se présenteront. 

Mais toi, tu as l’âge de la retraite et au lieu de prendre tous ces aléas comme des petits deuils, prend-les comme des signaux : au printemps, tu n’es pas obligée de recommencer. 

Seulement jouir de ce que tu as construit depuis soixante-six printemps.

dimanche 22 septembre 2013

Je prends ma retraite



Depuis trois ans, j’ai une auto 2007
depuis un an, j’ai un véhicule récréatif 2004, avant j’avais un modèle de 1995
depuis cinq ans, un ordinateur portatif, écran 15 pouces
depuis six ou sept ans, un cellulaire Rogers, pas de texto (ou en tout cas, je ne sais pas m’en servir) pas de photo
depuis trois ans, j’ai des beaux planchers flottants et des tuiles qui ont fait « clic »
depuis deux ans, j’ai un grand téléviseur à écran plat avec du HDMI
depuis deux mois, un I-pod touch 5e génération et hier, il a fallu télécharger le IOS7 au design plat (platte, oui!)
depuis un mois, je lis un roman publié en 1953 d’Henri Troyat, décédé en 2007.

J’aime me tenir au courant des nouveautés, histoire de ne pas avoir l’air d’une vieille antiquité, prête à s’ennuyer dans un CHSLD, et j’aime bien savoir de quoi parlent mes neveux et nièces lors de rencontres familiales.

Il y a deux semaines, on m’a dit que mon site avait l’air… je cherche le mot, pas obsolète, mais un mot qui veut dire « version dépassée ». Alors, je me suis dit, je vais le mettre un peu au goût du jour. Mais voilà que le goût du jour, c’est le « responsive template » et la plateforme Wordpress si possible, même si Blogger n'a rien à lui envier, ce me semble!

Où je veux en venir ? Ça change trop vite. Arrêtez de pousser, je ne suis plus capable de suivre. Ni dans les véhicules, ni dans les styles littéraires, ni dans le « home staging », ni dans les téléviseurs à interface ou les téléphones intelligents. J’ai à peine le temps de voir ce qu’est un drôme, d’apprendre à écrire un texto, de lire du Lori Saint-Martin (il faut bien que j'en nomme une, mais ça pourrait être la majorité des jeunes auteurs québécois, vous savez, ceux qui réussissent à écrire sans relative dans leur phrase), d’acheter un logiciel pour monter des sites que déjà, on me jette aux yeux (ceux-là mêmes qui viennent de subir une opération pour les cataractes, c’est vous dire que je n’ai plus l’âge de me battre dans ce féroce monde de la performance) une expression comme « responsive template » !

Laissez-moi souffler! Ou plutôt, je décroche, je prends ma retraite du graphisme. Je vais envoyer un courriel à mes rares clients et leur dire de commencer à se chercher un designer qui sait jouer à ce jeu de « on change tout demain matin ! » Mes-vos sites sont démodés et ce n’est pas moi qui vais les raccommoder.

Je ne crois pas que ce soit ma dernière auto, peut-être mon dernier véhicule récréatif. Je ne sais pas si je vais encore changer mes planchers, les fenêtres peut-être. Un autre ordinateur quand celui-ci rendra l’âme (ces petites bêtes-là ont encore moins d’endurance que moi !), sûrement. Je vais continuer d’écrire avec mon style à mi-chemin entre les 30 ans et les 80 ans, blogues compris, mais je ne crois pas que je vais refaire mon site.

Obsolète, c’est un bien plus beau mot que « responsive design template », au moins, c’est français !

lundi 9 mai 2011

Quel nom de domaine, quel nom de site,
quel nom de blogue?

Comment appeler notre blogue? Quel nom de domaine choisir pour notre site? C’est un peu comme se demander quel titre choisir pour son roman.

Ça m’a pris des années avant d’accepter l’ordinateur, mais une fois choisi, une fois que j’ai connu l’internet, je n’ai eu de cesse d’en profiter. Je ne dirais pas l’exploiter au maximum, mais au moins servir mes besoins. 

Comme je travaillais comme graphiste, disons monteuse en pages pour un journal, des livres, des brochures, j’ai rapidement compris qu’avec un peu de travail, je pourrais monter des sites Internet. J’ai commencé avec Frontpage. Je ne connaissais rien au langage html, n’en connais pas beaucoup plus, et je ne m’aventure pas dans des sites complexes, j’ai donc cherché, et je cherche encore, des logiciels qui offraient le WYSIWYG.

J’ai commencé par me monter un petit site avant d’offrir mes services à d’autres. Je ne sentais pas le besoin d’avoir un nom de domaine et le petit 5Mo que Télébec m’offrait gratuitement me suffisait amplement. Sauf que je ne savais pas comment appeler mon site. Écrire mon nom en haut, bien en évidence, en caractères gras m’apparaissait prétentieux, mais surtout inutile : pourquoi quelqu’un écrirait mon nom? Me chercher d’abord par ce que je pouvais offrir et ensuite les clients potentiels apprendraient bien mon nom. En fait, je ne savais pas trop ce que je voulais. Monter un site, c’était un jeu, un apprentissage.

Quand, avec l’ajout d’images et de pages, le 5 Mo n’a plus suffi, quand vint le temps de faire sérieux et d’avoir un nom de domaine, encore des questions : claudelamarche.com, non décidément, ça ne disait rien. Après avoir longuement réfléchi à ce que j’offrais comme services et pour me faire connaître, j’ai trouvé que «des pages et des pages» convenait beaucoup mieux : j’écris des pages, je monte des pages, je publie des pages de voyage, de généalogie, etc. Et puis, avec les mots clés, la description, là je pourrais mettre mon nom. 

Ce qui fut pensé fut fait.
Puis vint le blogue : même chose. On dirait que je n’ose jamais me mettre à l’avant-scène. Je suis portée à dire ce que je fais au lieu de dire qui je suis. Dire qui je suis relève du privé, sur Internet, c'est ce que nous offrons qui compte. Me semble et je le pense toujours, quand je vois des portraits de personnes gros comme un camion pour vendre des maisons ou un parti politique... Bon, faut croire que je ne suis pas encore arrivée dans l'ère du visuel!

Mais cette fois, presque dix ans après avoir monté mon premier site, je m’y suis décidée. Non pas à prendre un nom de domaine à mon nom, je crois que ce ne sera pas nécessaire, si quelqu’un tape mon nom dans divers moteurs de recherche, il me trouvera. Sauf que, tout en changeant un peu l'arrière plan de mon site, j'en ai profité, et, dans l’en-tête de toutes mes pages, j’ai ajouté mon nom. C’était « Des pages et des pages », c’est devenu, depuis aujourd’hui : « Des pages et des pages de Claude Lamarche » et j’ai poussé l’audace jusqu’à écrire mon nom plus gros que « Des pages et des pages ».

Avez-vous de la difficulté à vous mettre de l'avant? Avez-vous cherché longtemps le titre de votre blogue, celui de votre site?

lundi 24 août 2009

Renouveler son nom de domaine

Ce matin, j’ai reçu une lettre de Domain Registry of Canada. Encore que je me dis. L’an dernier à pareille date j’en avais reçu une. Et j’étais tombée dans le panneau. Un nom qui ressemblait comme deux gouttes deux à l’entreprise chez qui j’avais acheté un de mes noms de domaines.

Vous savez que l’entreprise chez qui est enregistré notre nom de domaine est appelé « registraire » tandis que l’entreprise qui héberge notre site est un « hébergeur ». Parfois l’hébergeur s’occupe d’enregistrer notre nom de domaine, mais souvent la facture vient directement du registraire. C’est donc ce que je croyais. C’était mon premier renouvellement.

Il faut dire qu’entre-temps j’avais changé de courriel et j’avais omis d’en avertir le registraire, croyant que mon hébergeur le ferait. Donc il ne pouvait pas me rejoindre par courriel, je trouvais que c’avait bien du bon sens alors qu’il me contacte par la poste.

Donc je m’en vais sur le site de cette entreprise, croyant aller chez mon registraire, je me dis pourquoi envoyer un chèque par la poste plutôt que de payer par Internet. Et peut-être que c’est moins cher par Internet. Je trouvais ça bizarre 40 $ pour un an et 70 $ pour deux ans, mais convaincue également que ça comprenait l’hébergement du site Internet, je prends deux ans et je paie par Visa.

Est-ce le lendemain ou le jour même, comme il m’arrive souvent de vérifier après plutôt qu’avant, je vais voir sur le site de mon hébergeur pour voir si mon courriel a été changé J’ai un peu de difficulté à me retrouver, je téléphone. Et là, le cœur accélère, je comprends que j’ai confondu Domain Registry et Domain People. Et que l’hébergeur est une chose et le registraire une autre. Et que Domain Registry est un arnaqueur, comme c’est bien expliqué à plusieurs endroits, dont celui-ci >>>

C’était également écrit sur le site de mon hébergeur, mais à ma défense (je me chicanais assez comme ça, il fallait bien que je me trouve des excuses), c’est comme sur un contrat, c’est écrit tellement d’affaires, qu’on ne lit pas tout. Et ce n’est pas un endroit où on va très souvent sur le site de notre hébergeur. Mon hébergeur ne peut rien faire, mais il me conseille d’appeler Visa.

J’appelle aussitôt Visa. On est la fin de semaine, et puis une transaction ça ne s’arrête pas comme un chèque. J’explique mon cas. La préposée me conseille de commencer par essayer d’annuler la transaction avec Domain Registry. Oh ! Mon doux, ils sont en Colombie-Britannique, et mon anglais n’est pas fameux. Encore moins quand je tremble de partout. Si ça ne réussit pas, je dois écrire une lettre, bref monter un dossier, envoyer le tout à Visa et d’ici deux semaines, mon cas sera étudié.

Je ne sais pas où j’ai pris mon courage, mais j’appelai l’ennemi. J’avais l’impression de me battre contre plus gros que moi. C’était samedi, je me croisai les doigts. Ouf ça répond. J’ai demandé au monsieur de parler lentement. En plus, j’ai fait ma difficile, je ne voulais pas donner mon numéro de carte Visa au téléphone. Pas à lui en tout cas. Le préposé a finalement retrouvé ma transaction et il m’a dit qu’il l’annulait et que je le verrais le lundi sur mon compte. Lundi, c’était dans deux jours, très loin. J’ai très mal dormi.

Le lundi matin, dès neuf heures, j’ai retéléphoné chez Visa (peser sur le 1, sur le 2, pour une carte, pour ceci et cela, petite musique longue attente) et enfin, oui la transaction avait été annulée. Ouf ! J’ai respiré.

Alors, il est certain que cette année la lettre de Domain Registry of Canada ira directement dans la déchiqueteuse. Et je ne place pas d'image et je ne fais pas de lien pour cette entreprise arnaqueuse.

dimanche 11 janvier 2009

Site ou blogue?

Je viens de réaliser que je suis en train de publier mon blogue comme j’ai publié quelques livres à droit d’auteur. J’écris, je corrige, je monte, je publie, je fais même la promotion, je surveille la distribution. Mais même problème qu’avec les livres publiés à compte d’auteur : pas beaucoup de lecteurs. Par contre, reste visible plus longtemps que trois mois dans les librairies et encore accessible un an après la publication et disponible au monde entier, le francophone en tout cas, alors que le livre (les miens, dois-je le préciser) est rapidement tombé dans l’oubli.

Le site est-il plus accessible au visiteur qu’un blogue? Les deux se complètent, pour l’instant. Mais pas gage de meilleure visibilité de l’un ou de l’autre. Il faut d’abord qu’il y ait intérêt des mêmes sujets. Par exemple, je ne découvrirai probablement pas les blogues où il est question de l’Irak, je ne cherche pas. Ils sont probablement plus nombreux que mes pauvres petits sujets d’écriture et de peinture. C’est bien connu, les arts sont des mal-aimés. Traités comme des passe-temps très souvent. Un loisir, au mieux une culture. Mais je ne vais pas jouer profil bas pour autant. Garder espoir.

Conclusion : aucune. Je continue. Et si je ne publie plus à compte d’auteur, je peux au moins facilement publier sur Internet. Et si je n’ai pas réussi à gagner ma vie en publiant à compte d’auteur, je ne crois pas non plus que je gagnerai beaucoup d’argent en publiant sur Internet. Qu’est ce que je fais ici, alors?

Je fais ce que j’aime : j’écris.

mardi 2 décembre 2008

Mise à jour de mes sites

Avec l'approche des Fêtes, j'ai envoyé quelques courriels pour dire que l'atelier de Louise Falstrault est ouvert au public. J'ai pensé mettre à jour tous les sites dont je suis responsable. Loin d'être une professionnelle en la matière, j'ai quand même acquis quelques notions depuis le temps que je travaille sur l'ordi. J'ai donc fait une refonte complète de mon site personnel, en insistant sur le fait que je fais du graphisme, alors qu'avant je montrais plutôt mon côté auteure.

J'ai donc mis à jour les sites suivants:
Celui de Louise Falstrault: http://www.falstrault.com/
celui des Créateurs de la Petite-Nation, je l'ai à peine touché puisque le groupe ne changera qu'en mai prochain: http://www.createursdelapetitenation.com/
et les miens qui concernent la généalogie (13,300 fiches issues des familles Lamarche, Deguire, Falstrault, Nantel, Major), les voyages, le livre de mon père (Fairmont Château Montebello) que je vends encore et mon site personnel. Tous des sites que j'ai placés sur yahoo, sauf ma base de données trop grosse pour yahoo, donc je l'ai mise sur iquébec:
http://cf.geocities.com/genealogieancetres/
http://claudelamarche.iquebec.com/
http://cf.geocities.com/falstraultlamarche/
http://cf.geocities.com/voyages_55/

Suis fière de moi, pour une autodidacte, c'est pas si mal, il me semble.